Université, composantes et services
Université, composantes et services

« Faire des Presses universitaires de Strasbourg une maison d’édition à part entière »

Créée au lendemain de la fusion des trois universités de 2009, la Fondation Presses universitaires de Strasbourg (FPUS) parachève son organisation, en se dotant d’un comité éditorial dès la rentrée. De quoi donner à Cécile Geiger, directrice des PUS, et à Isabelle Laboulais, présidente de la Fondation PUS et professeure d’histoire moderne, les moyens de leurs ambitions d’ouverture à de nouvelles disciplines et de transition numérique.

Pourquoi doter la Fondation PUS d’un comité éditorial ?
Isabelle Laboulais :
Ce choix a été fait il y a un an, à l’occasion du renouvellement du conseil de gestion, l’une des instances de gouvernance de la Fondation PUS. Cela afin de doter les presses de l’organe collégial qui leur manquait pour devenir une maison d’édition à part entière. La possibilité de mettre en place une véritable politique éditoriale fait partie des éléments consubstantiels à l’identité d’une maison d’édition.
Cécile Geiger : En cela, les PUS ne font que se rallier au fonctionnement des autres maisons d’édition.

En quoi cela va-t-il modifier le processus de publication au sein de la Fondation PUS ?
I.L. :
Dès la rentrée, le comité éditorial statuera sur toutes les demandes de publication adressées par les directeurs de collection. Ceux-ci joindront au manuscrit une fiche d’expertise dans laquelle ils exposeront en quoi le titre prend toute sa place dans leur collection, et situeront l’importance du texte au sein de la recherche. Pour trancher, collégialement, le comité éditorial se basera aussi sur l’avis d’un expert extérieur.

Quelle sera la composition de cette nouvelle instance ?
C.G. :
Le comité éditorial comprendra treize membres : six issus du conseil de gestion de la Fondation PUS, six extérieurs à l’Unistra, chercheurs ou enseignants-chercheurs, dont le recrutement est en cours, et moi-même.
I.L. :
Nous ambitionnons de créer de nouvelles collections, non pas au détriment de l’existant, mais via un redéploiement. Celles-ci seront ouvertes aux universitaires strasbourgeois et d’autres universités. Nous souhaitons évoluer vers une approche plus thématique. Certaines disciplines, science politique, anthropologie, géographie, ont vocation à intégrer le catalogue. Le succès du Calendrier mathématique a renforcé notre conviction de l’importance d’ouvrir les PUS aux sciences fondamentales. Un mathématicien siègera au comité éditorial.

Pouvez-vous nous rappeler comment s’articulent vos deux fonctions ?
I.L. :
La Fondation PUS est le fruit du rapprochement entre l’université et l’association des PUS, héritière des Presses de la faculté des lettres, dont l’histoire remonte à 1920. Créée en juillet 2010, elle rassemble donc logiquement des représentants des deux entités.
C.G. : La présidente de la Fondation PUS et la directrice des PUS forment un binôme étroit, au sein duquel l’interaction et la complémentarité sont les maîtres-mots. Les regards de l’enseignante-chercheuse et de l’éditrice s’articulent pour passer du manuscrit d’un auteur à l’objet-livre.

Qu’en est-il de l’articulation des PUS avec les autres services de l’université ?
C.G. :
L’imprimerie de la Direction des affaires logistiques intérieures (Dali) imprime près de la moitié de nos nouveautés. Nous déléguons au Service d’appui aux publications, rattaché à la Direction de la recherche, la mise en page des revues créées avant 2015. Nous éditons le recueil des nouvelles du prix Louise-Weiss, coordonné par le Service universitaire de l’action culturelle (Suac).
I.L. : Les liens sont étroits, et encore amenés à se développer, avec le Jardin des sciences. Notamment à travers le lancement prochain de deux applications numériques dédiées à la sismologie et au Calendrier mathématique. Les PUS sont également étroitement associées au projet des Archives ouvertes de la connaissance. Sur ce volet de valorisation des données de la recherche, il me tient à cœur de mettre à disposition, à travers des bases de données en ligne, les corpus de documents et de savoirs rassemblés par un enseignant-chercheur publié chez nous dans le cadre de sa recherche.
C.G. : En parallèle, la Fondation PUS a son propre programme numérique. Nos publications ont vocation à être disponibles en version imprimée et numérique à l’horizon 2017.

Recueilli par Elsa Collobert


Les Presses universitaires de Strasbourg en chiffres

250 exemplaires sont imprimés par titre en moyenne, avec quelques exceptions : 600 pour un catalogue d’exposition majeure (Ana Ziqquratim par exemple), 5 500 pour une publication grand public comme le Calendrier mathématique.

40 ouvrages sont publiés chaque année sous la marque PUS, dont une dizaine par l’association des PUS, qui conserve huit collections

12 revues sont éditées par les PUS, dont deux électroniques. La dernière, Revue du droit des religions, est sortie en mai 2016.

7 personnes composent l’équipes des PUS : sa directrice, une chargées d’édition, une assistante de gestion éditoriale, une assistante de diffusion, une chargée de communication, une responsable comptable et financière. Et, pendant un an, un chef de projet en charge des applications numériques.

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Il y a une vie après le projet Alisée

Le libre-service permet aux étudiants d’éditer eux-mêmes certains documents administratifs.

Le projet Alisée a été arrêté en 2014 suite à de graves problèmes avec le prestataire choisi pour sa mise en œuvre. Pour autant, son arrêt n’a pas induit la remise à zéro du travail sur les fonctionnalités qui devaient être prises en charge par ce progiciel. Une capitalisation sur le fond, et des habitudes de travail en commun, survivent en effet à l’arrêt de ce projet et ont permis le déploiement, en cours, de solutions alternatives.

« Quand nous avons décidé d’arrêter le projet Alisée, on ne s’est pas dit : maintenant, on attend la sortie d’un super-outil de ce type en continuant à vivre avec notre existant, explique Nathalie Vincent, directrice-générale adjointe aux missions, chef de projet Alisée entre 2012 et 2014. Nous nous sommes immédiatement fixé comme objectif de répondre aux attentes, de développer les fonctionnalités qui devaient être prises en charge par Alisée. »
Aujourd’hui, une quinzaine de projets, plus ou moins avancés, viennent répondre à des besoins ou des attentes, certains soutenus par l’Idex. Plusieurs concernent la sphère de la scolarité des étudiants : ainsi, le libre-service a été mis en place. Il permet aux étudiants d’éditer par eux-mêmes un certificat de scolarité, un numéro d’anonymat ou une attestation de paiement des droits. Il fonctionne depuis novembre et 9 000 documents ont été délivrés par cette voie.

La sphère de la vie étudiante privilégiée

Dans le même temps, le référentiel de l’offre de formation (ROF), outil commun de présentation et de gestion de l’offre de formation, est testé dans plusieurs composantes et sera progressivement étendu à tout l’établissement.
Quatre composantes ont également testé un module de dématérialisation des pièces du dossier d’inscription. Le système fonctionnant plutôt bien, il sera généralisé à la rentrée 2016.
Synchronisation avec le Crous concernant le statut de boursier, plateforme d’offres de stage, portail des alumni, logiciels de gestion de la validation des acquis de l’expérience, des 3es cycles ou des accords internationaux : toutes ces solutions numériques, indépendantes ou extensions de solutions préexistantes, travaillées en autonomie ou en collaboration avec des partenaires, couvriront en grande partie, à terme, le périmètre d’Alisée.
De nombreux services sont impliqués dans leur mise en œuvre : la Direction informatique et la Direction des études et de la scolarité, naturellement, le Service formation continue, le Service relations Alumni, la Direction des relations internationales, etc…
« Parallèlement, l’université engage la refonte du Schéma directeur du numérique pour les cinq ans à venir, qui doit prendre en compte les nouveaux besoins ou pratiques des usagers », précise Nathalie Vincent. Ce chantier démarre, mais une chose est sûre : il y a une vie après Alisée.

Caroline Laplane

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Centre de recherche en biomédecine : le chantier avance bon train

Voilà un an que la première pierre du bâtiment destiné à réunir formation, recherche et soins cliniques en biomédecine, a été posée. Revue de détail de l’avancement de ce projet de pointe, à l’occasion d’une visite de chantier.

Porté par l’Université de Strasbourg, l’Inserm et les Hôpitaux universitaires de Strasbourg, le projet de Centre de recherche en biomédecine de Strasbourg (CRBS), sur le site de l’hôpital civil, prend forme. Plusieurs membres et responsables de laboratoires, représentant quatre axes thématiques (biomatériaux, infection-inflammation, neurosciences et génétique médicale) ont récemment pris connaissance de leur futur cadre de travail. D’autres équipes seront également intégrées au CRBS, l’ensemble de ces laboratoires étant membres de la Fédération de médecine translationnelle de Strasbourg (FMTS) qu’anime la Faculté de médecine.
Luc Dupuis, directeur de recherches au laboratoire Mécanismes centraux et périphériques de la neurodégénérescence (Inserm/Unistra-UMRS 1118), a les yeux qui pétillent : « On va avoir de super conditions de travail ! » Chez chacun, on sent l’impatience de prendre possession des lieux. À l’été 2017, si les travaux continuent au même rythme. Pour l’heure, le gros œuvre est quasiment achevé. « Le CRBS est pour notre université un projet-phare, qui doit donner à la recherche d’excellence menée ici les moyens à la hauteur de son rang international », avance Michel Deneken.

Puits de lumière, jardin et terrasse

Corinne Stoetzel, du Laboratoire de génétique médicale–UMR 1112, se remémore les balbutiements du projet, en 2007 : « À l'initiative du doyen Ludes, nous nous étions réunis pour imaginer notre lieu de travail idéal. On avait même de la pâte à modeler et des allumettes pour donner corps à nos idées ! » Près de dix ans plus tard, les souhaits émis par les futurs occupants des lieux ont largement été pris en compte : l’atrium est abondamment éclairé par un puits de lumière, entouré d’espace de convivialité à chaque étage. La dalle de béton du rez-de-chaussée cèdera la place à des jardins plantés au niveau des espaces extérieurs et à une terrasse intérieure en bois, au niveau de l'atrium. Et les bureaux et laboratoires, lumineux eux-aussi, s’articulent de façon cohérente en fonction des besoins.
Architectes et concepteurs ont apporté un soin tout particulier à la gestion des flux d’énergie du site : « La façade en béton isolée par l'extérieur recevra un bardage en aluminium dont les lamelles, de couleur chaude, ont pour objet l'occultation solaire des locaux », explique Stéphane Houin, architecte du cabinet mulhousien DeA. Le choix a aussi été fait de la géothermie pour la régulation thermique, permis grâce à une « convergence rare entre contraintes fonctionnelles, architecturales et techniques », apprécie Ségolène Le Vourch, de WSP France, bureau d’études fluides.

À la pointe de la médecine translationnelle

Il est d’ores et déjà prévu que les équipes du Laboratoire de génétique médicale Alsace (LGMA), dirigé par Hélène Dollfus, se répartissent au rez-de-chaussée et premier étage du CRBS : le premier, doté de salles de radiographies, sera destiné aux consultations, le second aux équipes de recherche. Un exemple parmi d’autres du développement de la médecine translationnelle, du malade à la paillasse, vocation première de ce projet novateur.
L’opération, d’un montant de 37,1 millions d’euros, est financée par le Contrat de projets État-Région 2007-2013 et l’Opération campus, pour 36 millions d’euros, et par le Contrat de plan État-Région 2015-2020 pour l’Institut de génétique médicale à hauteur de 1,1 million d’euros.

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Quelques images du chantier du futur CRBS

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Moodle 3 : pour un meilleur confort d’utilisation

Comme il y a deux ans, la plate-forme pédagogique voit ses possibilités évoluer. Responsive design, fonctionnalités étoffées et simplification sont les améliorations apportées par la prochaine mise à jour, qui aura lieu au courant du mois de juin.

Moodle, c’est la plate-forme accessible depuis l’ENT, véritable boîte à outils permettant de déposer et diffuser des ressources (texte, audio, vidéo), de créer des communautés d’étudiants autour d’activités pédagogiques et de communiquer entre enseignants et étudiants, déjà utilisée par un peu plus de 40 000 usagers.
Principale évolution de cette mise à jour : « La plate-forme devient responsive, explique Christophe Scherrer, ingénieur pédagogique au sein de la Direction des usages du numérique (DUN). D'où un léger impact sur le design de l'interface. » Rien à voir toutefois avec la refonte totale de l’aspect graphique de 2014.
Comme lors de la précédente mise à jour, il y a deux ans, les enseignants devront réimporter leurs espaces de cours. Que les usagers de Moodle se rassurent, cette procédure de restauration a été simplifiée au maximum : « Les enseignants doivent uniquement sélectionner les espaces qu'ils souhaitent récupérer dans leur liste de cours », détaille l’ingénieur.
Trois nouveautés qui devraient faciliter la vie des usagers de Moodle sont par ailleurs à signaler :
- types de questions étoffés dans l'activité "Test", répondant en cela à une demande des enseignants (possibilité de réponses à texte libre ou d‘utilisation d’images interactives) ;
- possibilité d'annoter directement en ligne les fichiers PDF déposés par les étudiants dans l'activité "Devoir" ;
- possibilité d’attribuer des badges aux étudiants, sanctionnant la réalisation d’un travail ou l’acquisition d’une compétence (partageables sur des portfolios ou des réseaux sociaux).

 

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Un label Marianne pour le service de Validation des acquis de l’expérience

C’est désormais officiel, le service de la VAE vient d’obtenir le label Marianne* pour la qualité de son accueil et de son travail au service des usagers. Il s’agit du second service de l’université labellisé, après le service de la Vie universitaire, qui a décroché son label en juin 2015, et sans doute le début d’une longue liste.

Le service VAE est un petit service de cinq personnes, logé un peu à l’écart du campus, rue Schiller, dont la mission principale est d’accompagner les candidats à la validation des acquis de l’expérience, « une troisième voie possible pour décrocher un diplôme universitaire », comme aime à le dire Danielle Haug, sa directrice.
Interpelée par le déploiement de la démarche Marianne à l’université, celle-ci s’est portée volontaire pour y faire entrer son service et a proposé à Emmanuelle Abraham d’en être la référente. Celle-ci est par ailleurs l’une des chargées d’ingénierie et d’accompagnement VAE du service.
La démarche a démarré en janvier 2015 et s’est déployée sur une grosse année. « Ce n’est pas très contraignant, témoigne Emmanuelle Abraham, mais c’est chronophage. J’évalue la charge de référent Marianne entre 15 et 20% de mon temps de travail sur toute la période. » 

Trouver les bons indicateurs

Le service de la VAE ne partait pas de rien. Il avait déjà mis en place des études de satisfaction de ses usagers, ainsi que fixé ses procédures par écrit. Restait à établir les indicateurs permettant de mesurer et de suivre la mise en œuvre des objectifs qualitatifs liés à Marianne : répondre aux mails en moins de cinq jours, au téléphone avant la cinquième sonnerie, aux courriers papiers en moins de quinze jours, etc.
« La mise en place demande de l’investissement, et il faut prévoir un suivi de l’existant et la mise en place de nouvelle actions d’amélioration afin de faire vivre le système qualité sur la durée. Le certificat est accordé pour trois ans et il y a un audit de surveillance au bout de 18 mois, explique Emmanuelle, qui précise : outre la reconnaissance de la qualité de notre travail au service des candidats VAE, la démarche Marianne a aussi mis du sens entre nos différentes actions, créé un fil conducteur qui est très positif pour l’équipe. »
Une vingtaine de services et composantes sont actuellement engagés dans une démarche Marianne à différents stades. Alors, à qui le tour ? 

Caroline Laplane

* La démarche a bénéficié du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.

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Une délégation chinoise de l’Université normale de Pékin accueillie à Strasbourg

L’Université de Strasbourg a accueilli une délégation chinoise de l’Université normale de Pékin (Beijing Normal University), le 11 mai.

Cette visite visait à signer un accord interuniversitaire (concernant toutes les composantes) qui permettra l’échange de trois étudiants de licence et de master par an, à développer des contacts entre enseignants, les échanges de doctorants et les coopérations de recherche.
Deux conventions existent déjà avec ce partenaire : un accord-cadre signé en octobre 2014 et une convention Unistra/CNRS/BNU pour la création d’un centre d’innovation et de recherche pour la France et pour la Chine dans le domaine des politiques d’éducation et des politiques publiques, signée en juin 2015.

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L’EM Strasbourg membre d’un nouveau consortium international de recherche

L’EM Strasbourg s’est engagée dans un projet de recherche international, en partenariat avec cinq autres universités en Allemagne, aux États-Unis, en Belgique, en Italie et en Chine.

Baptisé Innovation, entrepreneurship and finance (Inef), ce projet est subventionné par l’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD) et coordonné par l’Université de Hohenheim, en Allemagne. Il vise à organiser, durant la période 2015-2018, des activités de recherche communes et de stimuler les collaborations entre enseignants-chercheurs et doctorants des institutions partenaires sur les thèmes de l’innovation, de l’entrepreneuriat et de la finance. Le réseau a pour but de planifier des activités de recherche communes touchant aux thèmes centraux du projet, telles que conférences et colloques, séjours de recherche, échanges de doctorants et d’étudiants, workshops et summer schools.

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Un colloque interdisiciplinaire dédié au temps

Les 9 et 10 juin, l'université organise un colloque interdisciplinaire dédié au temps*. Un événement scientifique et public destiné à favoriser l'émergence de projets de recherche aux confins des disciplines.

Il n'y a pas une discipline scientifique qui n'inclue la notion de temps. Chacune d'elle l'aborde à sa manière, avec au final une diversité d'approches qui donne à ce concept un statut bien particulier et définitivement pluridisciplinaire. Que ce soit à l'échelle des mécanismes biologiques, à celle de l'évolution du climat ou encore à celle de la physique atomique, les temps sont bien caractéristiques. La notion de rythme et dynamique en est un autre volet que l'on peut retrouver dans les domaines de la médecine, de l'économie ou encore de l'histoire. Durant deux jours, le temps sera décortiqué aux travers d'interventions et des débats bien évidemment rythmés.
Le colloque est accessible à tous, universitaires et grand public, sur inscription avant le 2 juin.

* L'organisation de ce colloque bénéficie du soutien du programme Investissements d'avenir de l'Université de Strasbourg et du CNRS.

 

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Réunions institutionnelles : calendrier 2016

 Juin Juillet
Conseil académique
14 h - Mardi
 /  /
Congrès
14 h 30 - Mardi
 21 /
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 21 5
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU (ex-Cévu)
14 h - Mardi
 7-23 /
Commission de la recherche - CR (ex-CS)
14 h 30 - Mercredi
 8 /
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 28 /
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 / 1er
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 / 4
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
8 h 30 - Jeudi
 / /
Comité technique d'établissement
9 h - Jeudi
 / /

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