Université en action

Identités en débat

Crédit : Stéphanie Robert

Construit avec l'appui de l'ensemble de la communauté universitaire strasbourgeoise et au-delà, la 8e édition de Savoir(s) en commun, rencontres universités-société se dévoile peu à peu. Autour de la thématique centrale « Identités », quatre cycles d'évènements seront développés cette année du 12 au 28 novembre 2009 et mis en débat dans l'ensemble de la cité strasbourgeoise.

Dans le premier « Perceptions », il sera question de la revendication d'une identité et du regard de l'autre au travers des métamorphoses corporelles.
Le second cycle « Frontières et mondialisation » abordera les nouvelles identités de l'entreprise devenue virtuelle ainsi que la problématique de l'identité européenne.
« Valeurs », troisième cycle en proposition remettra notre identité biologique en question et mettra en débat la question particulière du statut (de victime, de malade, de précaire etc).
Le dernier cycle « Connexions » nous entraînera dans les mondes virtuels et les identités cachées qui s'y déploient, sans oublier la problématique toujours épineuse de l'identité d'une information sur le net, où commence le vol et où s'arrête le don d'information ?

Pour connaître la programmation complète et proposer de nouveaux angles de réflexion qui pourront trouver leur place dans cette nouvelle édition :

Contactez : Frédéric Zinck, responsable de l'événement
Courriel : savoirs@unistra.fr
Tél. 03 90 23 54 78/79
Site internet : http://savoirs.u-strasbg.fr

A noter également :
La photographie présentée ici est à la base d'un projet artistique qui propose de mettre en forme en musique, en image, en danse, en mots... et selon sa propre identité multidisciplinaire, cette photographie qui ne demande qu'à être identifiée. Toutes contributions sont les bienvenues.

F.Z.

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Michel Deneken, premier vice-président de l'université

A quoi sert un premier vice-président à l'université ? Quelles sont vos missions ?
La fonction de vice-président du Conseil d'administration existe dans beaucoup d'universités. Pour Strasbourg, c'était une idée de campagne du président Alain Beretz : avoir un premier vice-président pour le seconder, le représenter et qui soit aussi chargé de dossiers transversaux.
J'ai la responsabilité permanente des finances de l'Université de Strasbourg et aussi celle de la mise en place du PRES* avec mon collègue de l'Université de Haute-Alsace, Pierre-Alain Muller. Par ailleurs, je représente le président à sa demande et prends en charge les dossiers liés à la gouvernance, au pilotage de l'université et de ses instances. Je ressens mon travail comme étant au service de l'ensemble des membres de l'équipe présidentielle.

Quels sont vos dossiers actuels ?

Nous sommes en phase de préparation du budget 2010. Ce chantier va nous permettre de déterminer une partie de la stratégie de l'établissement et vérifier en même temps la viabilité de la configuration de ces services financier et comptable.
2010 sera l'année du premier véritable budget de l'Université de Strasbourg et l'enjeu est le suivant : comment mettre en place un dialogue de gestion constructif avec l'ensemble des composantes (UFR, unités de recherche et services), au service de quelle politique ? La question déterminante de la définition des critères de dotation des budgets est traitée actuellement par une commission ad-hoc. En fonction de ses conclusions attendues pour la mi-juillet, la lettre de cadrage budgétaire sera rédigée et envoyée aux composantes début septembre. Dans le cadre de la LRU, nous sommes tenus d'organiser un débat d'orientation budgétaire avant le vote des grandes masses et du budget lui-même.
Autre point d'actualité, la première DBM qui sera présentée au Conseil d'administration du 30 juin. Nous aurons à ce moment là un état des besoins réels des composantes et des services et nous déterminerons en connaissance de cause le montant des réserves à intégrer au budget 2009. La vision exacte du budget est encore prématurée car les négociations avec le ministère sont toujours en cours.

Six mois après la création de l'Université de Strasbourg, quel est votre bilan ?

Je pense que la création de l'Université de Strasbourg est une réussite malgré les nombreuses difficultés. Je ne le dis pas par provocation, mais par conviction. L'identité de l'université se précise grâce aux acteurs qui font connaissance, travaillent ensemble et s'approprient le chantier. Le mouvement des étudiants et des personnels qui a duré 12 semaines et qui se poursuit d'une manière ou d'une autre me conforte pour dire que l'université unique est une bonne chose. Les sciences humaines par exemple trouvent un lieu plus apte pour défendre leurs problèmes spécifiques. Le statut des enseignants-chercheurs et la mastérisation ont fait l'objet de prises de positions unanimes au congrès. Sur ces questions sensibles, nous avons lancé des rencontres-débat (LRU, formation des enseignants). Après le débat du 3 juin autour de LRU se tiendra une première journée d'études (25 juin) autour du thème « enseigner, un métier qui s'apprend ». Une seconde rencontre consacrée à la mastérisation sera organisée en septembre.
Pour la construction de la démocratie à l'université, Philippe Breton a été chargé du dossier et il aura les moyens de monter de nouvelles instances de débat et de consultation. Nous réfléchissons aussi à la manière de mieux organiser le débat stratégique au Conseil d'administration. Comment mieux impliquer les élus dans son déroulement et garantir la qualité des débats : voilà encore une tâche urgente.

Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans l'exercice de votre nouvelle fonction ?

Ce qui est récurrent, c'est que les dossiers sont complexes et prennent du temps car chaque université précédente avait une logique propre. Il faudra la durée du contrat quadriennal pour faire évoluer les pratiques.
Une autre difficulté est d'honorer la promesse que l'Université de Strasbourg n'entraîne aucune régression. Cet engagement a un vrai coût pour l'établissement. Côté ministère, ce qui nous pose un vrai souci relève des nouveaux critères de dotation globale de fonctionnement (dénommés « sympa ») qui risquent s'ils sont appliqués de faire baisser l'enveloppe. Les présidents des universités ont fait remonter au ministère leur inquiétude.

Avez-vous un souhait particulier pour les mois qui viennent ?

Que la première rentrée de l'Université de Strasbourg soit pour nos étudiants une occasion de s'approprier cette nouvelle université. Un des objets symboliques sera sans doute cette nouvelle carte d'étudiant multiservices « Mon pass campus Alsace ».


Propos recueillis par Agnès Villanueva


* PRES : Pôle de recherche et d'enseignement supérieur

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Le service prévention, sécurité, environnement

Claude Geist, dirige depuis le 1er janvier 2009 ce nouveau service en contact avec un réseau de plus de 250 personnes. La diffusion du réflexe sécurité est une de ses priorités. Une mission essentielle et difficile en raison de la taille l'établissement.

Comment s'est passée la fusion ?

Nous avons essentiellement travaillé à 3 sur le projet de service début 2008. J'ai construit ce nouveau service avec mes homologues ingénieures sécurité, l'une (Sonia Joliot) affectée à l'époque à l'URS et à l'UMB et l'autre (Isabelle Burzala) à l'IUFM. Nos missions étaient différentes. Mes collègues consacraient leur mission au conseil alors qu'à l'ULP nous étions en plus responsables de la mise en œuvre d'actions opérationnelles comme l'élimination des déchets, les vérifications périodiques des équipements de sécurité et la surveillance des immeubles de grande hauteur.

De 35 personnes en tout, nous sommes passés à 9. Nous avons suivi les recommandations de l'Inspection hygiène et sécurité du ministère qui préconisait de recentrer nos missions sur la prévention des risques professionnels et avons maintenu la protection de l'environnement. Les missions de vérification sur site ont été transférées à la Direction du patrimoine immobilier et les agents de sécurité incendie dépendent du secrétariat général.
Nous avons décidé de nos missions essentielles et n'avons pas été contactés par le cabinet Deloitte. Nous avons bien avancé ensemble mais nous aurions apprécié avoir un œil extérieur. Aujourd'hui pour bien réaliser notre plan de travail, il nous manque au bas mot trois personnes.

Quel est en effet le périmètre d'action du SPSE ?

Nous sommes chargés de mettre en place la politique de prévention des risques professionnels et incendie de l'établissement, la protection de l'environnent et le développement durable. Nous conseillons le président, la direction en général et les différents responsables de composantes, d'unités de recherche sur les actions à engager ainsi que l'ensemble des agents.

Qu'avez-vous réalisé ?

Nous avons établi le programme annuel de prévention des risques concernant les usagers et les personnels. Validé le 9 avril par le comité d'hygiène et de sécurité (CHS) de l'université et le 12 mai par le CA, il présente notamment 52 actions de prévention à mener. L'intégralité de notre travail hormis la gestion des urgences et des crises, la protection de l'environnement et le développement durable  est liée à ce programme. Les mesures décrites impliquent parfois d'autres services et le niveau de difficulté de mise en œuvre varie. Les plus complexes concernent, par exemple, la réalisation du document unique d'évaluation des risques et la levée des avis défavorables à la poursuite de l'exploitation des établissements recevant du public (mise en sécurité incendie). En parallèle nous mettons en place un réseau de 150 ACMO (Agents chargés de la mise en œuvre des règles d'hygiène et de sécurité) et travaillons en collaboration étroite avec le CNRS et l'Inserm pour toutes les questions concernant les unités mixtes de recherche.

Côté formation, nous avions anticipé le travail en 2008 sur le montage du programme. Se former est obligatoire pour les agents qui encourent des risques. 30 actions sont prévues en 2009 dont plusieurs nouveautés, avec par exemple l'accueil sécurité des nouveaux entrants à l'université et la sensibilisation des responsables (chefs de services, directeurs d'UFR et d'unités de recherche).
Il faut rappeler qu'ils ont tous des obligations et notamment celle de veiller à la sécurité et à la santé des agents qui se trouvent sous leur responsabilité.

Autres actions qui ont compté en ce début d'année, les imprévus ! Nous avons été sollicités lors des mouvements étudiants pour leur expliquer l'importance de débloquer les issues de secours de bâtiments et saisis aussi pour les problèmes de sécurité de la tour de chimie et les accidents de laboratoires.

Quelle est votre dossier actuel ?
La construction du document unique d'évaluation des risques. Il doit permettre de faire un inventaire des risques, une évaluation et de mettre en place des actions correctives. Certaines actions remontent au niveau du programme annuel. 77 structures ont été identifiées et 50 personnes doivent encore être formées à l'utilisation de l'outil pour réaliser ensemble ce document. Au total 220 animateurs de l'évaluation des risques participent à ce projet. Le renforcement urgent du service par une personne est indispensable pour permettre l'assistance nécessaire aux structures.

Vos actions nouvelles ?

On se lance cette année dans l'élimination des déchets D3E (déchets des équipements électriques et électroniques), la collecte de cartouches de toners usagés et nous souhaitons étendre la collecte du papier à l'ensemble de ses bâtiments. Les contacts sont en cours avec la Ville de Strasbourg concernant le tri sélectif.

Autre chantier qui prend de l'ampleur, l'aide au montage d'autorisation d'utilisation exceptionnelle des locaux. Lorsqu'un bâtiment est utilisé pour des réceptions par exemple, il est obligatoire de monter un dossier examiné par la commission de sécurité du service départemental d'incendie et de secours (SDIS). Nous avons été sollicités 19 fois cette année.
Nous avons également des projets de développement durable. Après l'édition de l'éco guide étudiant, un document réservé aux personnels est prévu.

Votre préoccupation ?

Je souhaiterais que l'on aide davantage les acteurs de l'université à être en conformité avec la réglementation. Nous souhaitons mieux assister les personnels de laboratoires dans le montage de dossiers pour obtenir les autorisations administratives obligatoires pour la manipulation d'OGM ou de radio éléments.
Notre difficulté majeure, c'est que faute de personnel nous courrons après le temps, nous sommes nous-mêmes en retard chronique dans la mise en œuvre de la règlementation.
Nous allons trop peu sur le terrain pour effectuer les visites systématiques du Comité d'hygiène et de sécurité. Pour l'instant, nous nous focalisons sur les unités de recherche présentant des risques de type chimique et biologique. Pourtant c'est bien la base de notre métier de détecter les risques !

Propos recueillis par Agnès Villanueva

Les données clés du service

Nombre de personnes : 9 et 1 stagiaire
Nombre de pôles :
4 + secrétariat/gestion et développement durable

Prévention des risques professionnels
> pilotage la démarche d'évaluation des risques (document unique d'évaluation des risques professionnels, programme de prévention,  cartographie des risques, visites de sécurité générales ou thématiques,  analyse et suivi des accidents et des incidents),  
> suivi des obligations administratives des composantes et unités de recherche
> pilotage de la réalisation d'obligations réglementaires diverses (mises en conformité des équipements de travail, réalisation des dossiers techniques amiante, mesures des sorbonnes etc.)

Organisation de la prévention
> développement et animation du réseau des ACMO
> préparation et animation du CHS
> élaboration de procédures
> mise en place de formations en à la prévention des risques
> développement de l'information, veille réglementaire

Prévention du risque incendie/accessibilité
> participation aux projets de mise en sécurité incendie des établissements recevant du public et des immeubles de grande hauteur et de construction,
> suivi des commissions de sécurité,
> assistance pour l'utilisation particulière de locaux

Protection de l'environnement
> gestion des déchets dangereux et banals,
> assistance pour la mise en conformité des installations classées pour la protection de l'environnement

> Chiffres clés :
150 ACMO
220 animateurs de l'évaluation des risques
le comité d'hygiène et de sécurité de l'Université de Strasbourg et 2 commissions hygiène et sécurité (ECPM – Faculté de pharmacie)
5 à 10 visites systématiques du CHS par an et en moyenne 5 incidents/accidents graves/an qui déclenchent une enquête du CHS
90 établissements recevant du public dont 40% d'avis défavorables
110 exercices d'évacuation par an
240 machines outils dans les ateliers
1200 sorbonnes de laboratoires
6 bunkers de stockage de déchets dangereux
85 tonnes de déchets chimiques éliminés par an par des sociétés agréées

> Budget
: 400 000 € dont 1/3 réservé à l'élimination des déchets
> Implantation : 36 bd de la victoire, 67000 Strasbourg
> Contact : 03 90 24 08 05
> Courriel : spse@unistra.fr
> Installation : décembre-janvier 2009

> Spécificités :
Seul service qui a diminué en taille pour recentrer ses missions

Le chef de service a été désigné en qualité d'ACMO de l'établissement. Pour l'exercice de cette fonction il est rattaché au président de l'université sinon il est sous l'autorité du secrétaire général

     

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Un premier don pour le programme de bourses sociales

La Fondation Université de Strasbourg a reçu un premier don fléché sur l'un des projets prioritaires de l'Université, le programme de bourses sociales.
L'Université de Strasbourg a choisi de mettre en avant huit projets exceptionnels qui sont accompagnés par la Fondation Université de Strasbourg. Un premier don de 5 000 € a été fait à la Fondation pour l'un d'entre eux, le programme de bourses sociales. Le généreux donateur a choisi de soutenir un programme d'envergure qui permettra d'accroître l'accessibilité de l'Université de Strasbourg au plus grand nombre. En effet, ce programme vise à aider des étudiants en difficultés matérielles ayant obtenu de bons résultats académiques. Ce don témoigne sans aucun doute de l'intérêt porté par la société civile à des projets transversaux à caractère social développés par l'Université de Strasbourg.

Les huit projets prioritaires accompagnés par la Fondation s'orientent autour de deux axes principaux :

  • Une université ouverte avec le développement de bourses sur critères sociaux et académiques, la mise en place d'un dispositif d'accompagnement du handicap, la valorisation des collections archéologiques et la création d'un fonds mutualisé.
  • Une université attractive et excellente pour sa recherche et ses enseignements : un ambitieux programme de mobilité des étudiants de premier cycle pour découvrir la recherche à l'étranger ainsi que des chaires de recherche et d'enseignement en management, sciences économiques et chimie et ses frontières.

Ce don est un investissement dans l'avenir d'une université à vocation internationale ; il s'inscrit dans l'excellence et la pérennité car soutenir l'université aujourd'hui, c'est fonder la société de demain.

Contact Fondation

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La LRU en débat à l'université : entre interrogations et inquiétudes

L'Université de Strasbourg a organisé le mercredi 3 juin un débat dans le cadre de la réflexion sur l'avenir de l'université. Le thème choisi était « la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU) ». Environ 70 personnes étaient présentes dans la salle et ont pu exprimer leurs points de vue et convictions, Alain Beretz leur prêtant une oreille attentive.

Après une présentation de la loi LRU et de ses différents articles faite par Jean Déroche, secrétaire général de l'université, des étudiants ont introduit les trois grands thèmes autour desquels le débat s'est axé : la gouvernance, l'autonomie et le financement.
Ces trois points ont suscité bon nombre d'interrogations, voire même d'inquiétudes et de craintes : représentativité au Conseil d'administration, mode de scrutin pour l'élection du président, étendue des pouvoirs du président, possibilité d'avoirs recours au recrutement contractuel pour tous les postes y compris ceux d'enseignement, engagement de l'Etat, menace de disparition de certaines filières, rôle et légitimité de la Fondation.

Ce débat, premier d'une série, s'est achevé par une présentation de Philippe Breton, chargé de mission « vie démocratique », qui a assuré vouloir « enrichir et élargir la gouvernance de l'université » en proposant la mise en place d'un véritable pouvoir consultatif doté d'une autorité morale.

F.C.

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Concours photo Savoir(s) en commun : « Moi, je … »

La 8e édition de Savoir(s) en commun se déclinera au mois de novembre 2009 autour de la thématique « Identités ». Pour illustrer cette nouvelle édition, le concours photo intitulé « Autoportrait : moi, je... » vient d'être lancé. Celui-ci invite à photographier une expression de soi sous des formes qui pourront se révéler multiples. Chaque photographie devra être accompagnée d'une courte légende qui complète l'expression : « Moi, je... ».

Les photographies devront être envoyées avant le 30 novembre 2009, accompagnées des coordonnées complètes de l'auteur sous format électronique (TIFF ou JPEG, 300 DPI, poids maximal 3 Mo) à l'adresse suivante : savoirs@u-strasbg.fr
Ou en tirage papier (18x24) à :
Savoir(s) en commun - Concours photographique
Maison du jardin
7 rue de l'Université
67000 Strasbourg

Les photographies primées seront dotées de prix, et pour beaucoup d'autres seront mises en scène, lors de la nouvelle édition de Savoir(s) en commun.

Pour plus d'infos : http://savoirs.u-strasbg.fr/2009/concours.php

"Moi, je... suis petite !"

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Prospective et développement en séminaire

Le premier séminaire organisé par le Service prospective et développement s'est tenu dans la matinée du 29 mai. Rassemblant environ 25 personnes parmi lesquelles le président Alain Beretz, la manifestation a été rythmée par 4 interventions.

Anne Goudot a présenté les contours du nouveau Service prospective et développement, dont l'objet est de venir en appui au changement et au développement stratégique de l'université. Expert en prospective, François de Jouvenel du groupe Futuribles, a précisé les aspects théoriques et méthodologiques de la matière, et proposé une esquisse de chantiers possibles pour l'Université de Strasbourg.
La deuxième partie de la matinée a été consacrée à la présentation de deux projets en cours de réalisation, auxquels le Service de la prospective et du développement apporte son soutien actif. Catherine Mongenet (VP politique numérique et système d'information) expose les étapes du déploiement de la carte multi-service. Destinée aux étudiants et personnels de l'Université de Strasbourg et de l'Université de Haute Alsace, cette carte à puce multifonctionnelle a pour objectif de simplifier l'accès à différentes prestations et à certaines applications administratives.
François Schnell (DUN) est intervenu enfin sur la montée en puissance du pod-casting et du mobile learning à l'université mis au service de l'apprentissage et l'éducation. Il rapporte entre autres l'expérience positive d'universités qui ont opté pour l'ouverture en ligne du contenu des cours (exemple du M.I.T - Massachusetts Institute of Technology).
Les interventions ont éveillé la curiosité des participants et suscité un débat riche et animé, prometteur pour la poursuite du programme des prochains séminaires.

Retrouvez tous les diaporamas et vidéos des interventions sur l'intranet : http://intranet.unistra.fr/seminaire-du-29-mai-2009.html

Prochain rendez-vous : vendredi 18 septembre 2009.

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Directeur de l'ESBS : appel à candidats

Un appel à candidats est lancé pour un poste de directeur de l'Ecole supérieure de biotechnologie de Strasbourg (ESBS). Ce poste devra être pourvu à partir du 16 novembre 2009.

La date limite de candidature est provisoirement fixée au 1er septembre 2009.

Téléchargez l'appel à candidature.

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ENTRETIEN

Michel Deneken

« Nous réfléchissons à la manière de mieux organiser le débat stratégique »

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Les personnels administratifs et techniques

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