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Merci à toutes et à tous pour cette année 2011 exceptionnelle !

Chères collègues, chers collègues,

La fin de l'année 2011 approche à grands pas. Dès la fin de la semaine prochaine, les premiers départs en vacances s'annonceront et nous préparerons activement les fêtes de fin d'année !

En cette période de réjouissance, je souhaite profiter de ce dernier numéro de L'Actu pour revenir avec vous sur une année exceptionnelle pour notre université.
Exceptionnelle par le nombre et la qualité des projets lancés par l'Université de Strasbourg et ses partenaires du CNRS et de l'Inserm, et récompensés en 2011. Si nous devions n'en retenir que deux, je pense évidemment au prix Nobel de médecine ou physiologie qui sera remis demain, samedi 10 décembre, à Stockholm, à Jules Hoffmann, et à nos succès dans le cadre du programme Investissements d'avenir (Initiative d'excellence, Equipex, Labex, IHU, Satt, Ease, etc.).

Si l'Université de Strasbourg a connu tant de réussite cette année, c'est avant tout grâce à vous tous, enseignants-chercheurs, techniciens et administratifs, à votre engagement au quotidien et à votre professionnalisme. Je tiens à vous en remercier très sincèrement. Mais je sais aussi que ce résultat a impliqué une pression énorme, et une charge de travail conséquente pour chacune et chacun d'entre vous. J'ai pleinement pris la mesure des efforts que vous avez consentis, et c'est pourquoi je veillerai personnellement à ce que l'année 2012 soit avant tout une année de consolidation, vécue sur un rythme soutenable, nous permettant à tous de réaliser sereinement nos ambitions. Il faudra ainsi que nos autres chantiers, comme le rattachement de l'Université de Haute-Alsace à l'Université de Strasbourg, soient compatibles, dans leur rythme, avec le niveau d'activité qui est le nôtre pour chacune de nos missions.

En attendant, je vous souhaite, à vous et vos proches, d'excellentes fêtes de fin d'année et vous invite tous à vous joindre, le 16 décembre à 17 heures, au Palais universitaire, à l'hommage que la communauté strasbourgeoise rendra à Jules Hoffmann !

Alain Beretz
président de l'Université de Strasbourg

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Évaluation des formations : c'est parti !

La campagne d'évaluation des formations a été ouverte ce 1er décembre. Comme l'an dernier,  les étudiants en première année à l'université sont concernés. En 2011-2012, la campagne s'adresse aussi aux étudiants qui sont inscrits en deuxième année de DUT, licence professionnelle, troisième année de licence.

Les étudiants concernés vont pouvoir donner leur avis sur la formation dans laquelle ils se sont inscrits. En un clic et une dizaine de minutes, ils répondront pour ce qui les concerne à un questionnaire commun à toutes les formations de l'université : l'information est-elle accessible ? Que pensez-vous de l'ENT, des horaires d'ouverture de la bibliothèque, des supports pédagogiques ? Avez-vous été accompagné dans votre recherche de stage ?
Du programme à la professionnalisation, l'enquête doit permettre de recueillir le taux de satisfaction des étudiants sur les principaux éléments de leur cursus afin d'identifier d'éventuelles pistes d'amélioration. Il s'agit en fait de s'inscrire résolument dans l'Espace européen de l'enseignement supérieur, de s'appuyer sur ces évaluations pour améliorer la qualité de nos formations, pour renforcer leur attractivité et faciliter la mobilité étudiante entre établissements.

Consultation grandeur nature


La campagne d'évaluation s'adresse chaque année à tous les étudiants de première année de l'université ; et tous les deux ans aux étudiants inscrits dans une année diplômante. En 2011/2012, c'est le tour des étudiants qui sont inscrits en deuxième année de DUT, licence professionnelle, troisième année de licence. L'an prochain, ce sera celui des étudiants inscrits en master 2, en troisième année d'une école, ou en troisième et sixième années des études de santé. En effet, pour que les résultats soient comparables et exploitables à l'échelle de l'université, l'enquête doit porter sur une population homogène et cohérente sur une période qui, cette année, s'étale entre le 1er décembre 2011 et le 6 juillet 2012. Si, sur cette période, les composantes sont laissées libres de procéder aux sondages au moment jugé le plus propice pour leurs étudiants, elles seront néanmoins tenues de dérouler le même processus dans les deux ans, le temps de mettre en œuvre les actions suscitées par la première enquête et d'en apprécier des effets.
En guise de galop d'essai, le questionnaire a déjà été testé l'an dernier. Trente composantes sur 38 ont participé à cette première campagne qui a concerné 23 000 étudiants, tous niveaux confondus, ce qui a permis d'ajuster le questionnaire et d'améliorer l'outil informatique élaboré pour le traitement statistique des données.

Référent qualité : un rôle primordial


Dans chaque composante, un référent qualité a été désigné pour lancer les sondages et en suivre le déroulement, informer les étudiants et les inciter à répondre au questionnaire aussi massivement que possible et puis, enquête terminée, transmettre les résultats aux responsables des formations évaluées. Une campagne de communication a été spécialement conçue pour l'aider dans ces missions, affiches et flyers à l'appui.
Concrètement, les étudiants reçoivent un courriel à leur adresse électronique "etu.unistra.fr" et il leur suffit de cliquer sur un lien pour accéder au questionnaire. Précision importante : l'exploitation et le traitement statistique des questionnaires garantit l'anonymat des réponses.
Dans chaque composante sont instaurées des commissions de suivi des formations, associant enseignants, étudiants et personnels pour analyser les résultats des enquêtes et proposer des améliorations en conséquence. À l'issue de chaque campagne d'évaluation, les plans d'action ainsi établis sont transmis à la Commission centrale du Cévu (Conseil des études de la vie universitaire) qui en assure le suivi d'année en année. Rendez-vous en décembre 2012 pour le bilan de la campagne qui vient de s'ouvrir !

Annie Cheminat,
vice-présidente déléguée évaluation-qualité

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Albert Hamm : «S'affirmer comme un centre d'excellence et de plurilinguisme»

Albert Hamm, professeur émérite de linguistique anglaise, a été chargé de dresser un « bilan sur l'enseignement et l'évaluation des langues vivantes à l'Université de Strasbourg [Unistra] ». Il vient de publier un rapport avec des propositions d'évolutions à mettre en œuvre pour atteindre l'excellence en langues.

Dans quel contexte cette mission a-t-elle été effectuée ?
L'histoire récente du site universitaire strasbourgeois éclaire la question de l'enseignement des langues. En 1991, lors de la création du Pôle universitaire européen, les trois universités avaient décidé de lui confier les programmes de développement de l'attractivité du site, comme la mobilité étudiante, l'attractivité européenne etc. Le pôle procédait pour les langues par appels d'offres, pour soutenir les projets des différentes composantes. En mars 2008 un document de travail présenté au Cévu de l'Université Marc Bloch concluait déjà à la nécessité de créer une cellule de coordination des langues pour non-spécialistes. Pour l'université unique, un comité de pilotage a travaillé sur les langues depuis 2008 sans que ses propositions soient suivies d'effet.

Quel état des lieux avez-vous dressé ?
L'Unistra est l'une des universités françaises qui offre le plus de langues : plus de 25, pour la plupart européennes. Ses 20% d'étudiants étrangers de 148 nationalités différentes témoignent d'une forte attractivité géographique et scientifique. Elle peut donc s'affirmer comme un centre de plurilinguisme et de dialogue interculturel, en appui à son excellence scientifique largement reconnue. Les enseignements Lansad (langues pour spécialistes d'autres disciplines) représentent un volume de 55 000 à 60 000 heures/an - des moyens importants leurs sont consacrés. Cependant, ils restent peu visibles et peu valorisés par l'université, les composantes et les étudiants. Aussi, est-il souhaitable, possible et essentiel, pour l'attractivité de l'Unistra et le devenir professionnel de ses étudiants, de développer une politique ambitieuse pour les langues vivantes.

Dans votre bilan, vous établissez trois stratégies possibles ?
J'ai proposé trois stratégies, complémentaires ou alternatives, pour les langues et cultures au service d'une telle politique. La première s'incarne dans une politique d'établissement pour renforcer la dimension plurilingue, pluri-culturelle et internationale de l'Université de Strasbourg. La seconde vise à inscrire l'enseignement des langues et cultures dans une « maison des langues » servant de point d'appui ou, à défaut, dans une composante Lansad.
La troisième, à défaut d'un accord sur une ambition commune ou une visibilité plus forte des enseignements en langues, pourrait soutenir au moyen d'appels d'offres les projets les plus innovants. Même dans ce dernier cas, la création d'une structure fédérative reste une étape essentielle.

Votre rapport s'accompagne-t-il aussi de propositions ?
Une clarification des statuts, missions et services des 568 enseignants de Lansad passe par leur rattachement à une structure commune, pour une meilleure organisation, une vraie concertation et une élévation du niveau des étudiants. La certification reste insuffisante dans un contexte de concurrence accrue et de recherche d'excellence. Les enseignements en langues sont aujourd'hui en grande partie évalués dans le cadre d'examens d'UE où la faiblesse en langue(s) peut être compensée par des résultats favorables dans d'autres disciplines et réciproquement ; comment garantir alors un niveau de compétence ? Il faudra mener une réflexion sur les différentes langues : lesquelles ? pour qui ? où ? comment ? quand ? à quels niveaux ? Il sera essentiel de susciter une large adhésion des étudiants à la politique des langues, en conjuguant information précoce, incitation et motivation. Il faudra enfin pouvoir identifier les moyens en personnels et en fonctionnement mis au service de cette politique. Ces propositions sont soumises au débat ; d'autres peuvent apparaître. On verra jusqu'où l'université est prête à aller. La plupart de mes interlocuteurs se sont déclarés convaincus de l'importance des langues. Le choix est très ouvert, puisqu'il s'agit, au minimum, d'améliorer le rapport qualité/coût de l'offre de formation en langues et, dans le meilleur des cas, d'en faire un axe majeur du développement de l'Université de Strasbourg !

Propos recueillis par Floriane Andrey

Lire le rapport d'Albert Hamm

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Cérémonie en l’honneur de Jules Hoffmann - Prix Nobel 2011 de physiologie ou médecine

Une réception en l'honneur de Jules Hoffmann, Prix Nobel 2011 de physiologie ou médecine, aura lieu le vendredi 16 décembre 2011 à 17 heures au Palais universitaire à Strasbourg.

Sous le haut patronage de :

  • Alain Beretz, président de l'Université de Strasbourg
  • Alain Fuchs, président du CNRS
  • Philippe Richert, ministre chargé des Collectivités territoriales,
    président du Conseil régional d'Alsace
  • Guy-Dominique Kennel, président du Conseil général du Bas-Rhin
  • Jacques Bigot, président de la Communauté urbaine de Strasbourg

en présence de

  • Pierre-Étienne Bisch, préfet de la région Alsace et du Bas-Rhin
  • Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg
  • Armande Le Pellec Muller, recteur de l'Académie de Strasbourg, chancelier des universités d'Alsace
  • Serge Kauffmann, délégué régional à la recherche et à la technologie

À cette occasion, Jules Hoffmann recevra un exemplaire papier du livre d'or électronique ouvert sur le site de l'Université de Strasbourg depuis l'annonce de son prix.

Vous pouvez encore vous inscrire pour assister à cette manifestation à cette adresse www.unistra.fr/nobel2011 ou auprès de Françoise Gast au 03 68 85 11 34.

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Alisée : cap sur 2013

Vendredi 25 novembre s'est déroulée la réunion de lancement de la phase opérationnelle d'Alisée*. Cette plénière, qui a rassemblé plus de 150 participants, avait pour objectif de présenter le dispositif qui va être mis en place pour la gestion d'un projet de grande envergure, dans lequel tous les acteurs de l'université auront un rôle déterminant à jouer.

Le comité de projet a d'abord présenté la société Sungard, qui va déployer Banner, le progiciel choisi à l'issue d'un dialogue compétitif. L'éditeur-intégrateur Sungard équipe déjà plus de 1 000 universités et grandes écoles dans le monde dont l'Essec, Sciences-Po Paris, et l'Université Libre de Bruxelles. Le progiciel Banner est une solution éprouvée qui permet aussi d'utiliser des outils collaboratifs, de gérer et de partager des documents, le tout avec une grande flexibilité. Un zoom a été apporté sur le planning général et les différentes étapes qui vont jalonner le projet. L'équipe projet a été présentée afin de donner une vue d'ensemble et un aperçu du rôle attribué à chaque personne impliquée.

Le déploiement technique d'Alisée va s'étaler progressivement jusqu'en 2014 et gèrera les fonctionnalités suivantes :

  • Offre de formation - Préalables à l'inscription - Inscription administrative et pédagogique
  • Gestion des stages
  • Gestion des thèses - Suivi des doctorants
  • Suivi pédagogique de l'étudiant
  • Dossier étudiant
  • Formation continue - Apprentissage - Validation des acquis de l'expérience (VAE)
  • Vie étudiante
  • Mobilité et accords internationaux
  • Suivi des services d'enseignement, gestion de la charge d'enseignement
  • Pilotage
  • Anciens étudiants
  • CRM (Customer Relationship Management) - Gestion des contacts

Pour ce faire, des ateliers fonctionnels et techniques ainsi que des phases de tests vont se dérouler dans les prochains mois.
Ce nouvel environnement informatique doit être opérationnel dès la rentrée 2013 pour être en phase avec la mise en place de la nouvelle offre de formation relative au prochain quinquennal.
Il a enfin été expliqué comment les différents acteurs, étudiants, enseignants et personnels administratifs vont être directement associés au projet, car chacun aura sa place dans le dispositif, et de quelle manière les futurs utilisateurs de cette nouvelle solution intégrée vont pouvoir bénéficier d'un accompagnement au changement qui s'appuiera sur la communication, la formation et l'assistance.
L'objectif est que l'ensemble des utilisateurs puisse s'approprier, dans les meilleures conditions, un progiciel innovant et performant, au service de l'ensemble des acteurs de l'université. Il s'agit d'un enjeu de taille pour le plus grand projet en système d'information jamais déployé au sein de l'Université de Strasbourg.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site des Services numériques

Stéphanie Meyer-Thomas


*Alisée est une solution informatique intégrée (ou progiciel) destinée à assurer le suivi de l'étudiant, depuis son entrée à l'université puis son cursus et tout au long de sa carrière en tant qu'Alumni (ancien étudiant). Le projet Alisée couvre les projets 5.1 (outil intégré pour la formation et le suivi des étudiants) et 5.4 (réseau des anciens) du schéma directeur numérique.

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Votre avis sur la mise en place d’une solution anti-plagiat

Afin de mieux connaître les points de vue et attentes des enseignants sur la question du plagiat, une enquête a été menée en juin 2011 au sein de l'université.

Le sondage s'inscrit dans le cadre du projet Plagiat de la Direction des usages du numérique (DUN), visant à sélectionner un outil de détection de plagiat et proposer des méthodes et instruments de prévention, de médiation et de sanction. Au total, 402 enseignants ont accepté de répondre à l'enquête.

Un sujet préoccupant pour les enseignants


Les résultats de l'enquête révèlent que le plagiat est un sujet préoccupant pour une grande majorité des enseignants (89% des sondés). 76% d'entre eux ont déjà pris l'initiative d'analyser des travaux étudiants via un moteur de recherche, un site Internet ou un logiciel de détection de similarités.
Parmi les critères de choix d'un logiciel anti-plagiat, la facilité d'utilisation de l'outil apparaît comme prioritaire. Les analyses visent principalement les travaux des étudiants du 2e cycle.
Enfin, un quart des répondants a souhaité apporter des commentaires sur le sujet. On peut notamment signaler que le projet est globalement perçu comme une bonne initiative, et que la démarche outil doit s'accompagner d'une démarche pédagogique auprès des étudiants. Les termes « prévention », « sensibilisation » et « communication » reviennent fréquemment. Les répondants souhaiteraient par ailleurs être guidés dans la gestion du plagiat, notamment autour de la question des sanctions et de l'encadrement juridique.

Du sondage aux solutions


L'enquête a permis la mise en place d'un groupe de travail anti-plagiat d'une trentaine de membres et la constitution d'un groupe de testeurs qui ont participé tout au long du mois de novembre 2011 à l'expérimentation de trois logiciels de détection de similarités.
Cinquante enseignants ont accepté d'endosser le rôle de testeurs et comparent actuellement le traitement fait de divers travaux selon une grille d'analyse composée par le groupe de travail. Leurs conclusions seront remises en décembre et le groupe se retrouvera début 2012 pour un bilan.

Découvrez l'ensemble des résultats de l'enquête.

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Nuit blanche à l'Université de Strasbourg

La nuit de l'informatique 2011 a eu lieu à l'Université de Strasbourg les jeudi 1er et vendredi 2 décembre, du coucher du soleil, 16h41, au lever du soleil, 7h59.

Organisée en partenariat avec l'UFR de mathématique et d'informatique, l'IUT Robert Schuman, l'IUT de Haguenau ainsi que l'Ensiie (École nationale supérieure d'informatique pour l'industrie et l'entreprise), avec la participation de l'Amicale des informaticiens de l'Université de Strasbourg (AIUS) et soutenue par d'autres composantes, telles que l'UFR arts visuels et la Fachhochschule d'Offenburg, cette manifestation a réuni à l'UFR de mathématique et d'informatique, étudiants, enseignants et industriels d'horizons divers afin de travailler ensemble sur un défi informatique. Pour sa troisième édition, l'Université de Strasbourg a accueilli 156 participants répartis en 16 équipes, ce qui fait de Strasbourg le deuxième plus gros site au niveau national (derrière Sophia Antipolis). Contraints de limiter le nombre de place et obligés de refuser certains participants, les organisateurs espèrent pouvoir augmenter le nombre de places l'année prochaine.

Application web pour cadeaux de Noël


Le thème de la nuit consistait à réaliser une application web qui permet de suggérer des cadeaux en fonction de profils au sein d'un réseau social. Autour de ce thème principal, se greffaient d'autres défis proposés par les entreprises partenaires, telles que : Abase, Logica, Open, Rhenatic, etc.
Et pour agrémenter cette longue nuit de travail, quelques animations étaient prévues dont la mise à disposition d'une Wii. Le ravitaillement était assuré grâce à Abase pour son buffet d'ouverture, à Logica pour les snacks tout au long de la nuit, RedBull avec ses boissons énergisantes et l'IUT d'Haguenau pour le petit déjeuner. C'est l'équipe Smurf Attack, composée d'étudiants du master d'informatique et de la licence d'informatique de l'UFR de mathématique et d'informatique, qui a remporté le défi proposé par Abase. Ce défi récompensait l'équipe dont le projet répondait au mieux au sujet de la nuit. En outre, Strasbourg s'est particulièrement illustrée avec de nombreux défis remportés par des équipes locales de l'IUT Robert Schuman, de l'Ensiie ou de l'IUT de Haguenau, notamment l'équipe de l'IUT d'Illkirch Tasty Poney et l'équipe mixte Ensiie /master Multimédia Poutoutou, qui remportent le prix Logica.

Anne-Sophie Squiban


Tous les résultats, ainsi que les rendus des projets sont visibles sur le site : www.lanuitdelinfo.com

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Résultats du jeu concours "cinquantième numéro de L'Actu"

Chers amis lecteurs de L'Actu,

Merci de votre participation au petit jeu concours lancé lors du 50e numéro de L'Actu, qui était l'occasion pour la rédaction de vous faire un clin d'œil.

Vous avez été une quinzaine à répondre quasiment correctement aux 3 questions posées (la prochaine fois, on fera plus dur, pour corser le jeu !), et c'est donc la promptitude de la réponse qui nous permet de désigner les 4 gagnants :

  • Premier prix : Nina Mosser, Institut des neurosciences cellulaires et intégratives
  • Deuxième prix : Sylvie Mesa, Direction des relations internationales
  • Troisième prix : Thomas de Biasio, Direction des usages du numérique
  • Quatrième prix : Barbara Bilger, IUFM d'Alsace

Petit rappel des questions et réponses attendues :

1- Quelle association signifie "petite fille" ? Pogbi
2- Quelle structure a créé en 2005 un site internet dédié au dialogue social ? L'Institut du travail
3- Quel est le rêve de Florence Stollensteiner ? Être scénariste

Rendez-vous pour le prochain jeu concours, et d'ici-là, dans les prochains numéros de L'Actu !

La rédaction de L'Actu