Université en action

Tour des composantes - L'EOST, un ensemble singulier

L'École et observatoire des sciences de la Terre (EOST) est né du regroupement, en 1996, de l'École et observatoire de physique du Globe et de l'Institut de géologie portée en partie par une unité propre de recherche du CNRS, alors rattachée à la Faculté des sciences de la vie et de la Terre. L'objectif était de mettre dans un seul et unique ensemble tout ce qui concernait les sciences de la Terre. L'EOST est une structure assez atypique. Michel Granet, son directeur depuis le 1er septembre 2007, nous explique pourquoi.

Allier école d'ingénieurs et observatoire est tout d'abord assez unique en France ?

Fondé en 1919, l'Institut de physique du Globe de Strasbourg faisait partie des trois IPG existant en France avec ceux de Paris et Clermont-Ferrand. En 1984, lorsque seul celui de Paris a pu conserver son nom, nous sommes devenus l'École et observatoire de physique du Globe. Et suite au regroupement avec l'Institut de géologie en 1996, nous avons pris le nom d'EOST, confortant ainsi notre triple vocation de formation, de recherche et d'observation. À la fois école d'ingénieurs et observatoire des sciences de l'Univers (OSU), nous avons longtemps été les seuls à avoir ce statut en France. L'an dernier, l'École nationale supérieure de géologie de Nancy, école d'ingénieurs à l'origine, a aussi obtenu le statut d'observatoire.

Pourtant l'EOST conserve une certaine spécificité concernant la formation ?

Comme toute bonne UFR, nous avons bien entendu une mission de formation à l'EOST. Mais celle-ci est assez singulière dans le sens où, en plus de la formation d'ingénieurs en géophysique reconnue par la Commission des titres d'ingénieurs, nous proposons un parcours LMD. Notre offre comporte une licence et un master mention « Sciences de la Terre, de l'Univers et de l'Environnement ». Nous sommes en outre « l'épine dorsale » d'une école doctorale composée d'une centaine de doctorants dont près de 70 travaillent au sein des UMR(1) adossées à l'EOST. Au total, nous comptons 451 étudiants entre la licence, le master et l'école d'ingénieurs. C'est assez rare de trouver cette dualité dans une UFR, même dérogatoire.

La formation à l'EOST est adossée à une forte activité de recherche ?

Notre mission de recherche est placée sous une double tutelle : celle de l'Université de Strasbourg et celle de l'Institut national des sciences de l'Univers (INSU) du CNRS. Deux unités mixtes de recherche sont en effet adossées à l'EOST. L'Institut de physique du globe de Strasbourg (IPGS) a été ainsi nommé lors de sa création en janvier 1997 pour faire un « pied de nez » à nos collègues de Paris, dont le nom initial d'IPG avait été préservé. Cette UMR(2) développe des recherches sur la Terre solide, de la surface au noyau terrestre, et s'intéresse à des questions de nature environnementale. Le Laboratoire d'hydrologie et de géochimie de Strasbourg(3) s'implique dans l'étude et la modélisation des transferts dans les hydro systèmes continentaux.

Autre distinction de l'EOST : son statut d'observatoire ?

Il existe deux observatoires à Strasbourg : l'Observatoire astronomique et l'EOST. Les OSU, qui ont notamment pour mission de contribuer aux progrès de la connaissance par l'acquisition de données d'observation, bénéficient de l'appui d'un corps spécifiques d'enseignants-chercheurs, celui des astronomes et physiciens. L'EOST compte dix systèmes d'observation labellisés par l'INSU, certains dont nous sommes les pilotes et d'autres auxquels nous participons activement. Ainsi, en ce qui concerne la sismologie, l'EOST intègre le Bureau central sismologique français (BCSF), chargé des enquêtes pour quantifier les effets des tremblements de terre. Le 5e étage du bâtiment de la rue Descartes abrite aussi le Réseau national de surveillance sismique (RéNaSS) qui enregistre les séismes en temps réel et le Réseau large bande permanent, deux composantes du réseau sismologique et géodésique français. Nous avons également la responsabilité scientifique de stations géophysiques localisées dans les territoires austraux et antarctiques français. L'EOST est aussi chargé du bon fonctionnement du réseau géodésique rhénan, de l'observatoire gravimétrique et contribue aux études de l'Observatoire multidisciplinaire des instabilités de versant. L'observatoire hydrogéochimique de l'environnement a un rôle d'étude et de surveillance à long terme des écosystèmes et de leurs modifications. Une unité mixte de service héberge tous ces systèmes d'observation et offre des outils mutualisés pour toute la communauté EOST.

L'EOST a une dernière mission : diffuser la culture scientifique et technique ?

Nous sommes effectivement responsables de deux musées : le Musée de minéralogie, installé rue Blessig et le Musée de sismologie et magnétisme terrestre, localisé dans l'ancienne « Station centrale de séismologie de Strasbourg » créée dans les jardins de l'université. Cette station, équipée à l'époque des appareils les plus perfectionnés, a accueilli de nombreux sismologues de réputation mondiale. Lorsque l'Alsace est « revenue » à la France, le gouvernement créa l'Université française de Strasbourg et soucieux de faire jouer à cette nouvelle université un rôle de premier plan, il fit appel à des spécialistes éminents dont le fondateur de l'IPG de Strasbourg.

Quel est l'enjeu principal pour l'EOST actuellement ?

Il faut garder cette dualité école et observatoire. Les deux sont intimement liés et je ne souhaite pas qu'il y ait séparation de cet ensemble original, même si la tendance actuelle est de modifier en profondeur la relation entre formation et recherche. Ce couplage a un sens. Séparer signifierait qu'un membre viendrait à manquer ; nous serions alors comme amputés. Cependant, l'EOST ne pourra pas rester isolée. Nous serons amenés le moment venu à nous recomposer avec d'autres ensembles locaux. Il est ainsi nécessaire de construire à Strasbourg un ensemble « Terre, Univers et Environnement », qui regrouperait toutes les compétences locales en y associant formation, recherche et observation. Un chantier sur ces évolutions est inéluctable. Nous y sommes prêts.

Floriane Andrey

Notes :

1. UMR : Unité mixte de recherche
2. Institut de physique du globe de Strasbourg (IPGS) - UMR 7516 - Université de Strasbourg/CNRS : 55 enseignants-chercheurs et chercheurs (EC-C), près de 50 doctorants et une vingtaine de personnels techniques.
3. Le Laboratoire d'hydrologie et de géochimie de Strasbourg - UMR 7517 - Université de Strasbourg/CNRS : 31 EC-C, près de 25 personnels techniques et plus de 20 doctorants.

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Investissements d’avenir : la moisson continue

En mai, l'Université de Strasbourg et ses partenaires strasbourgeois sont impliqués dans deux projets lauréats en nano-biotechnologies et bioinformatique. L'UdS est également partenaire du projet d'usine-école Ease (projet BTEC renommé). Son projet d'initiative d'excellence a été approuvé par son propre Conseil d'administration le 24 mai. Il est dans les starting-blocks de la sélection finale.

En nano-biotechnologies, le projet DIGIDIAG est lauréat. Il prévoit le développement de laboratoires « sur puce » nano/microfluidiques miniaturisés et dédiés notamment à une prise en charge de proximité des patients avec des applications diagnostiques, en gestion clinique et en médecine personnalisée. Ce projet est porté par l'ISIS (Institut de science et ingénierie supra-moléculaire - UMR 7006), laboratoire UdS-CNRS, en partenariat avec le LAAS de Toulouse, l'Institut Curie, le CEA, les universités Paris Descartes, Pierre et Marie Curie, etc.

En bioinformatique
, l'IBMC (Institut de biologie moléculaire et cellulaire), unité propre du CNRS à Strasbourg est partenaire du projet lauréat BACNET, piloté par l'Institut Pasteur. Il concerne la modélisation des réseaux de régulation bactériens.

Par ailleurs, le projet Ease (anciennement BTEC) initié par le pôle de compétitivité Alsace Biovalley et porté par l'Université de Strasbourg, avec le rectorat de l'Académie de Strasbourg et le CROUS de Strasbourg, est retenu, avec seulement 3 autres projets au plan national. Il sera doté de 9 millions d'euros de financement. Ce projet dédié aux métiers de la production en milieu aseptique (salles blanches) prévoit sur le Parc d'innovation d'Illkirch la construction d'un « Biomanufacturing Training and Education Center » de type usine-école mis à la disposition de plusieurs centres de formation des apprentis (CFA), universités et opérateurs pédagogiques nationaux. Le centre aura une capacité d'accueil de 500 élèves. Un projet de 250 logements est en cours de montage avec le CROUS. Les entreprises du secteur de la santé ont contribué à la définition des besoins et participent au financement du projet.

Enfin, le Conseil d'administration de l'UdS, réuni le 24 mai 2011, a approuvé le projet d'Initiative d'excellence « Par-delà les frontières, l'Université de Strasbourg ». Ce projet, présélectionné le 26 mars dernier, amendé et complété selon les recommandations du jury international des Investissements d'avenir, est soumis pour la sélection finale. Le résultat devrait être connu en juillet 2011.

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Un nouveau sommet pour l’UdS ?

Ascension du Mont-Blanc, septembre 2010

Après l'ascension du Mont-Blanc en 2010 par un groupe d'alpinistes portant les couleurs de l'Université de Strasbourg (UdS), une nouvelle conquête de sommet se prépare : il s'agit cette fois de l'Elbrouz, 5 642 mètres. Avis aux amateurs... éclairés !

Conquérir le Mont-Blanc, y hisser les couleurs de l'UdS, c'était un premier « exploit », réalisé en septembre 2010 par quelques alpinistes de l'UdS. Un moment si fort, si intense, qu'il a forcément suscité le désir de se lancer dans de nouvelles aventures de haute-montagne. Trois personnels de l'UdS, Hervé Martz (Service universitaire des activités physiques et sportives-SUAPS), Bruno Moya (Direction informatique) et Fabienne Woelfel (Observatoire astronomique, CNRS) ont mis en route un nouveau projet à l'horizon de l'été 2012 : l'ascension de l'Elbrouz, dans le Caucase, en Russie, qui culmine à 5 642 m.
« Tout comme pour l'ascension du Mont-Blanc, notre objectif premier est de travailler l'esprit d'équipe et de cohésion au sein de l'université, autour d'un projet sportif international, ainsi que l'image de l'UdS et celle du SUAPS, explique Hervé Martz, qui a fait partie de l'expédition Mont-Blanc. Cette fois-ci, nous aimerions également associer la ville de Strasbourg et son image européenne, et donner à l'expédition un caractère plus universitaire en allant rencontrer nos collègues de l'Université de Moscou ».

Le recrutement est lancé


La priorité du moment est de recruter les membres de l'expédition : 12 personnes, personnels et étudiants de l'UdS, si possible à parité hommes et femmes. Un comité de sélection effectuera le recrutement sur des critères précis : motivation, expérience de vie de groupe, implication et investissement dans le projet, et surtout pratique et expérience de la haute-montagne. « C'est une ascension qui demande une bonne condition physique : les conditions climatiques sont changeantes, et l'altitude élevée. On bivouaquera à 4 000 m, dans des conditions rustiques », précise Hervé Martz. L'expédition durera 11 jours, et plusieurs ascensions d'acclimatation sont prévues auparavant. Par ailleurs, une participation financière de 200 euros sera demandée à chaque participant. Le budget par personne est estimé à 2 500 euros. L'équipe devra donc faire le tour des financeurs potentiels pour obtenir des subventions, et également organiser quelques événements susceptibles de ramener des fonds complémentaires (bal, puces, animations sportives, etc.).
Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 30 septembre 2011. Vous pouvez vous proposer pour faire partie de l'expédition elle-même, ou pour y apporter votre soutien logistique : alt5642m@gmail.com.

Caroline Laplane

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Un nichoir à faucon installé au sommet de la tour de Chimie

La Tour de chimie héberge, depuis 2000, le premier couple reproducteur de faucons pèlerins recensé à Strasbourg. En ce début d'année 2011, l'Université de Strasbourg a mis à la disposition de la Ligue pour la protection des oiseaux l'accès aux terrasses supérieures du bâtiment afin d'y implanter un nichoir à faucon.

Dans le cadre de sa politique de développement durable, l'Université de Strasbourg (UdS) contribue au maintien de la biodiversité sur les campus dont elle assure la gestion via de nombreuses actions comme la suppression des produits phytosanitaires, la création de prairies fleuries ou encore l'implantation de ruches. C'est dans ce contexte qu'elle vient de signer un partenariat avec la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) pour développer un lieu d'accueil et d'hébergement pour les faucons installés en haut de la Tour de chimie depuis une dizaine d'années.
Au début de l'année 2011, la LPO, qui coordonne le suivi de l'espèce sur toute l'Alsace et sur l'intégralité du massif vosgien depuis les années 1970, a donc installé un nichoir pour ces oiseaux protégés en France « afin de pérenniser le site de nidification, de sécuriser la reproduction et de limiter les dérangements anthropiques », explique Benjamin Didier, chargé d'études sur les rapaces de la LPO-Alsace.
Selon le magazine de la LPO, les faucons pèlerins ont commencé à s'installer en ville il y a quelques années déjà, y trouvant sur certains édifices une aire favorable à leur reproduction. Ils investissent souvent des bâtiments suffisamment hauts et situés à proximité d'une source de nourriture - les pigeons constituent des proies idéales pour eux.
Un couple et deux jeunes non volants sont donc actuellement présents sur le sommet de la Tour de chimie. Et pour préserver leur quiétude, une convention a été signée entre l'UdS et la LPO-Alsace. « Il faut en effet éviter toute présence humaine pendant la nidification et la croissance des oisillons, soit aucun dérangement entre février et juillet, si le site est adopté par les oiseaux », affirme Benjamin Didier. La convention recense donc toutes les procédures pour respecter cet engagement. La plus importante : pour toute visite ou demande d'accès au site, s'adresser à la Direction des affaires logistiques intérieures (DALI) qui fait le lien entre l'université et la LPO et est chargée de faire respecter ces quelques règles. « Afin de ne pas mettre en péril la nichée par une présence humaine, la Direction du patrimoine immobilier a accepté de reporter des travaux de vérification prévus en haut de la Tour de chimie. De notre côté, nous veillons à ce que personne ne monte car il est souvent tentant de prendre des photos panoramiques du campus ou de la ville », explique Véronique Blanlœil, responsable administrative et financière de la DALI.
Le nombre de couples reproducteurs a déjà diminué en 2010 à cause d'une météorologie défavorable et de la compétition pour les sites de reproduction avec le grand-duc d'Europe ; un dérangement des rapaces pendant cette période entraînerait certainement « un abandon des œufs ou des jeunes soit l'échec de la reproduction », insiste Benjamin Didier.

Floriane Andrey

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Démarrage précoce du dialogue de gestion

La première phase de la troisième saison du dialogue de gestion a démarré cette année dès le 1er juin pour les composantes de l'université. Ces rencontres systématiques entre la gouvernance universitaire (généralement directeur général des services, premier vice-président, vice-président ressources humaines, directions des finances et des ressources humaines, et les vice-présidents ou directions concernées par telle ou telle rencontre) et les composantes et services, servent de base, pour la troisième année consécutive, à un dialogue de gestion visant à répartir au mieux les moyens humains et financiers de l'université. Elles se déployaient généralement sur la période septembre-octobre.
Cette année, il a donc été décidé d'avancer cette démarche au premier juin pour les 38 composantes, afin d'avoir davantage de temps à consacrer à ce dialogue et à la négociation, et donc d'avoir plus de temps pour approfondir les demandes. Les services entreront quant à eux dans le dialogue de gestion dès la rentrée.

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Compte-rendu du CA du 24 mai 2011

En ouverture de la séance du 24 mai 2011, le Conseil d'administration a évoqué l'expulsion récente d'une étudiante étrangère. Il a souhaité réitérer, au travers d'une motion, la position de l'Université de Strasbourg émise en septembre 2010, complétée d'une phrase demandant que les étudiants puissent finir leur année en toute quiétude.

Après avoir désigné ses représentants au Conseil de la documentation (MM. Éric Maulin et Jean-Pierre Djukic) et entériné les propositions émises par le CEVU et le CS, le Conseil d'administration s'est prononcé sur deux grands projets : le dossier final de candidature à l'Initiative d'Excellence, présenté par Guy-René Perrin, délégué général aux Investissements d'Avenir, et le projet de Green Data Center, présenté par Catherine Mongenet, vice-présidente Politique numérique et système d'information.

M. Perrin a rappelé que l'Université de Strasbourg fait partie des 7 dossiers présélectionnés à l'IdEx et qu'un dossier complémentaire devait être adressé pour le 19 mai en vue de la sélection finale. C'est ce dossier final qui a été présenté aux CEVU et CS et, aujourd'hui, devant le CA. Il comporte 3 parties : un résumé, les réponses aux recommandations du jury et le dossier initial légèrement retouché.

Le projet de Green Data Center, quant à lui, en est encore au stade de l'étude. Cofinancé par la Caisse des dépôts, ses objectifs seraient de rationaliser les serveurs et sécuriser les ressources informatiques de l'université, d'assurer l'hébergement du Mésocentre et d'avoir une permanence 7j/7j, 24h/24h sur certaines applications critiques.

Le Conseil d'administration a ensuite validé à l'unanimité trois propositions de personnalités parmi celles transmises par les Collégiums pour le titre de Docteur Honoris Causa de l'Université de Strasbourg, à savoir : Mme  Ada Yonath (Biologie structurale), M. Carlo Ginzburg (Historien) et M. Jafar Panahi (Cinéaste).

Enfin, le Conseil d'administration a validé les propositions du CEVU concernant les modalités d'évaluation des étudiants, 6 calendriers dérogatoires et les exonérations des droits de scolarité pour l'année universitaire 2011-12.

S. L.

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Quatrième Rendez-vous des correspondants communication de l'université

Le 21 juin prochain, l'IUT Robert Schuman, sur le campus d'Illkirch, accueillera le 4e Rendez-vous des correspondants communication de l'université, soit plus de 150 personnes représentant les composantes, laboratoires et services centraux de notre établissement. Au programme de cette matinée de travail :

  • panorama des actions de communication pour la rentrée universitaire 2011,
  • actualités des correspondants communication et du Service communication,
  • débat intitulé : "La communication avec, pour ou contre les étudiants ?"

Pour plus de renseignements : jerome.castle@unistra.fr

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Prolongement des appels à projets d'animations pour la Fête de la science

La 20e édition de la Fête de la science aura lieu du 13 au 16 octobre 2011. Cette manifestation nationale et annuelle permet au monde de la science de faire la fête dans l'espace public.
Toutes les disciplines scientifiques sont invitées à prendre part à cet événement sous toutes les formes envisageables : stand, conférence, exposition, visites de laboratoire...

Si vous souhaitez y impliquer votre structure, envoyez avant le 20 juin la fiche d'inscription préliminaire au Jardin des sciences qui coordonne la manifestation dans le Bas-Rhin.

Contact
Saïd Hasnaoui
Said.hasnaoui@unistra.fr

03 68 85 05 24

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