Chiffres en tête

Les chiffres-clés 2009 du Service commun de documentation

Le Service commun de documentation (SCD) de l'Université de Strasbourg compte 31 bibliothèques intégrées organisées en 4 départements thématiques.

Répartition des bibliothèques intégrées du SCD selon le département thématique

 

Fonds du SCD

Le SCD gère un fonds de plus d'1,2 millions* de livres, dont 150 000 patrimoniaux. Il dispose par ailleurs de 15 400 revues papier et d'accès à 32 400 revues électroniques. 25 000 livres sont acquis par an.

 

Activité du SCD

27 000 lecteurs sont inscrits dans les bibliothèques du SCD, ils diposent de 5 000 place assises dans les bibliothèques. 326 500 prêts d'ouvrages à domicile ont été comptabilisés en 2008 et 1 630 000 articles ont été téléchargés. Le personnel du SCD est composé de 164 personnels titulaires ou contractuels et de 55 étudiants vacataires.

Sauf mention contraire, tous les chiffres concernent l'année 2009.
Source : Service commun de documentation de l'Université de Strasbourg.

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Les étudiants de master à l'Université de Strasbourg

En 2008/2009, il y avait 7 137 étudiants inscrits en master, en première ou en deuxième année. Ces étudiants représentent 17% de l'ensemble des étudiants de l'Université de Strasbourg. Parmi les formations entrant dans le schéma LMD, le poids des étudiants inscrits en master est de 29% (les licences représentent 61% et les doctorats 10%). 2 864 étudiants ont obtenu leur diplôme de master en 2008/2009.

Poids des étudiants inscrits en master en 2008/2009

Poids des étudiants inscrits en master dans l'ensemble des formations LMD en 2008/2009

Répartition des étudiants inscrits en master en 2008/2009, par secteur disciplinaire

Source - Service d'aide au pilotage

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Les Journées portes ouvertes des universités

Les journées portes ouvertes des universités d'Alsace (le 6 mars pour l'Université de Strasbourg, le 13 mars pour l'Université de Haute-Alsace) ont fait l'objet d'une évaluation en avril 2009, sous forme d'un questionnaire soumis à un échantillon de 1202 lycéens de classe de terminale.

90% d'avis favorables

Les journées portes ouvertes sont jugées utiles par 90% des lycéens qui s'y sont rendu. Elles obtiennent la meilleure évaluation des différentes actions menées par les universités vers les lycéens.

Jugements positifs sur l'utilité des différentes actions

 

Un impact important

Contrairement aux visites des universités dans les lycées, ou aux Journées des universités et des formations post-bac, dont la visite est souvent encadrée, les lycéens se rendent aux journées portes ouvertes des universités de manière totalement libre. Malgré cela, les Journées portes ouvertes ont attiré près de 30% des lycéens interrogés, qu'ils étudient dans un lycée du Bas-Rhin ou du Haut-Rhin.


Lycéen ayant visité les universités lors des journées portes ouverte 2009

Des journées préparées et utiles à la clarification du projet

Les lycéens qui se rendent aux journées portes ouvertes ont, pour 69% d'entre eux, préparé leur visite en repérant au préalable les lieux qu'ils souhaitaient visiter (sur le site des journées portes ouvertes et sur les sites des composantes essentiellement). Ils sont par ailleurs 35% à s'être rendu aux Journées portes ouvertes en famille.

68% d'entre eux ont pu rencontrer un ou plusieurs enseignants, et 55% ont pu bénéficier d'un conseil personnalisé. Au total, 71% déclarent que ces échanges ont contribué à clarifier leur projet personnel.

Enfin, ils sont 63% à souhaiter pourvoir prendre un repas dans un restaurant universitaire, et 60% à souhaiter pouvoir visiter une cité universitaire. Ces souhaits sont désormais satisfaits puisque ces deux activités sont proposés aux lycéen dans l'édition 2010 des Journées portes ouvertes.

Usages des journées portes ouvertes 2009 par les lycéens

 

Service d'aide au pilotage - ORESIPE

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Les Journées des universités

Les Journées des universités et des formations post-bac (JU) accueillent environ 20 000 visiteurs. 220 exposants présentent plus de 500 formations de la quasi-totalité des organismes de formation de l'Académie, et des régions limitrophes. Parmis les 220 exposants, on compte 32 lycées, 34 composantes de l'Université de Strasbourg et 9 composantes de l'Université de Haute-Alsace.

Elles s'inscrivent dans un dispositif plus global, comportant deux autres actions importantes menées par les universités d'Alsace en direction des lycéens : des visites d'information dans les lycées (sous forme de séances plénières et d'ateliers) et les journées portes ouvertes des universités. L'UHA organise également une manifestation, la Journée des carrières, qui s'inscrit aussi dans ce dispositif.

L'ensemble de ce dispositif a fait l'objet d'une évaluation en avril 2009, sous forme d'un questionnaire soumis à un échantillon de 1 202 de lycéens de classes de terminale.

Très fort taux de satisfaction

Tout comme la Journée des carrières et les Journées portes ouvertes, les JU sont très appréciées par les lycéens : elles sont jugées utiles par 84% d'entre eux.

 

Jugements positifs sur l'utilité des différentes actions


Trois actions sont complémentaires

Chacune de ces actions poursuit un but précis. Les visites dans les lycées servent à diffuser des informations d'ordre  général sur les types de formations universitaires (DEUST, DUT, licence…) et d'apporter aux élèves le vécu des étudiants. Les Journées des universités et la Journée des carrières ont pour objectif d'apporter des précisions sur les formations intéressant les futurs étudiants. Enfin, les journées portes ouvertes doivent permettre un contact concret avec l'université, les UFR et, d'une manière générale, le futur environnement que connaîtront les lycéens. Cette complémentarité est bien perçue par les lycéens.

 

Opinion sur la complémentarités des Journées des universités avec les autres actions


Des JU préparées

Les efforts d'information préalable des lycéens sont efficaces : 74% viennent aux JU en ayant déjà identifié les formations les intéressant. Les moyens utilisés pour préparer cette visite sont détaillés dans le graphique ci-dessous.

 

Préparation des Journées des universités par les lycéens

 

Service d'aide au pilotage - ORESIPE

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Les étudiants sportifs de haut niveau à l'Université de Strasbourg en 2009/2010

  • 44 étudiants de l'Université de Strasbourg sont reconnus comme sportifs de haut niveau.
  • 26 d'entre eux sont inscrits sur les listes de sportifs de haut niveau du Secrétariat d'État aux sports.
  • Ils se répartissent en 18 étudiants et 26 étudiantes.
  • Ils pratiquent 19 disciplines.

Répartition des étudiants sportifs de haut niveau selon la composante

Composante Sportifs de haut niveau
Faculté des sciences du sport 26
Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation 4
Faculté de droit, de sciences politiques et de gestion 4
UFR de mathématique et d'informatique 3
UFR des langues et sciences humaines appliquées 2
UFR des arts 1
Institut d'études politiques 1
École de management 1
Faculté des sciences de la vie 1
Faculté des sciences économiques et de gestion 1
Total 44

Répartition des étudiants sportifs de haut niveau selon la discipline sportive

Discipline Sportifs de haut niveau
Basket-ball 7
Athlétisme 5
Tir 4
Triathlon 4
Badminton 3
Judo 3
Water-polo 3
Échec 2
Hockey sur glace 2
Tennis de table 2
Billard 1
Escrime 1
Football 1
Golf 1
Haltérophilie 1
Handball 1
Kayak 1
Natation synchronisée 1
Volley-ball 1
Total 44

Service d'aide au pilotage

Source : Faculté des sciences du sport - Laurent Fleury

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Les universités du réseau EUCOR

En 1989, les universités du Rhin supérieur de Strasbourg, Mulhouse, Bâle, Fribourg en Brisgau et Karlsruhe, se sont regroupées et ont constituées en réseau universitaire trinational : la Confédération Européenne des Universités du Rhin supérieur (EUCOR).

Effectifs étudiants

Au total, les universités du réseau EUCOR regroupent 96 631 étudiants en 2008/2009. Les effectifs étudiants sont variables. L'Alsace regroupe la plus grande et la plus petite des universités du réseau en termes d'étudiants inscrits : 41 060 pour l'Université de Strasbourg et 7 621 pour l'Université de Haute-Alsace. Les universités de Fribourg et Karlsruhe présentent des effectifs assez comparables : respectivement 21 022 et 18 748 étudiants. L'Université de Bâle complète le réseau avec 11 180 étudiants.


Des universités internationales

Les 5 universités du réseau EUCOR ont un point commun, celui d'avoir parmi leurs étudiants une forte proportion d'étudiants étrangers. En effet, les étudiants de nationalité étrangère représentent au minimum 16% des inscrits (Université de Fribourg) et jusqu'à 21% des inscrits (Université de Strasbourg).

Un milliard et demi de budget

Le budget le plus important des 5 universités est celui de l'Université de Strasbourg 431 millions d'euros. L'Université de Bâle, bien que de taille relativement réduite, présente le deuxième plus gros budget avec 365 millions d'euros. L'Institut de technologie de Karlsruhe dispose d'un budget de 299 millions d'euros (707 millions si l'on inclut le buget du centre de recherche avec lequel elle a fusionné en octobre 2009. Le budget de l'Université de Fribourg s'élève à 243 millions d'euros. L'Université de Haute-Alsace, enfin, dispose d'un budget de 96 millions d'euros. La somme des budgets des 5 universités est donc proche du milliard et demi d'euros.

Service d'aide au pilotage

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L'âge du professeur

Au premier janvier 2009, l'Université de Strasbourg comptait 2 678 enseignants. Ils peuvent être répartis en enseignants titulaires : 1 904 et non-titulaires : 774. Au sein de chacune de ces catégories, il est possible de distinguer les enseignants selon leur grade. Les professeurs des universités, y compris les praticiens hospitaliers (PUPH), sont 645. Les maîtres de conférences, incluant aussi les praticiens hospitaliers (MCPH), sont 972. Ces deux catégories constituent les enseignants-chercheurs, au nombre de 1 617. A ces dernier s'ajoutent les enseignants du second degré : professeurs agrégés (PRAG) et professeurs certifiés (PRCE), dont l'effectif s'élève à 276. Enfin, quelques cas moins fréquents (11), des enseignants du premier degré par exemple, complètent l'effectif des enseignants titulaires.

Les enseignants non-titulaires se répartissent entre les professeurs associés à temps partiel (PAST - 103), les attachés temporaires d'enseignement et de recherche (ATER - 164), les moniteurs (297), les assistants hospitalo-universitaires (136) les lecteurs (langues – 39) et quelques autres types d'enseignants non-titulaires (35).

Les enseignants de l'Université de Strasbourg au 1er janvier 2009

Statut Grade Effectif
Enseignants titulaires Professeurs des universités 645
Maîtres de conférences 972
Enseignants du 2nd degré 276
Autres titulaires 11
Enseignants non-titulaires ATER 164
Assistants (hospitalo-universitaires)
136
Moniteurs 297
Lecteurs 39
Professeurs associés 103
Autres non-titulaires 35
Total 2 678

Répartition des enseignants par sexe

La répartition hommes-femmes parmi les enseignants de l'Université de Strasbourg présente un fort déséquilibre des sexes. Globalement, les femmes ne représentent que 38% des enseignants. Pour les enseignants titulaires, ce déséquilibre est d'autant plus fort que le grade est élevé. Les femmes ne représentent que 18% des professeurs d'université et 41% des maîtres de conférences. Il n'y a que la catégorie des enseignants du second degré où la parité est respectée. Concernant les enseignants non-titulaires, les hommes sont également majoritaires : 55%

Répartition des enseignants par âge

La distribution par âge de l'ensemble des enseignants de l'Université de Strasbourg est assez équilibrée. Les poids des classes d'âges décennales varient entre 11% et 25%. Du fait des déroulements de carrière, la distribution par âge des professeurs des universités est décalée vers les âges les plus élevés. La classe d'âges la plus fréquente est celle des 50-59 ans (36%) et ils sont nombreux à être âgés de plus de 60 ans (28%). Pour les mêmes raisons de déroulement de carrière, la distribution des âges des maîtres de conférences est décalée vers des âges moins élevés : l'effectif maximum est celui des 30-39 ans. Les âges des enseignants du second degré sont concentrés sur deux classes : 40-49 et 50-59 ans, dont le poids est de 74%. Les enseignants non-titulaires sont plus jeunes que les enseignants titulaires : 56% d'entre eux ont entre 20 et 29 ans. Le poids des doctorants et jeunes chercheurs explique cette répartition. Les seuls enseignants non-titulaires un peu plus âgés sont les professeurs associés.

 

Service d'aide au pilotage

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La Carte culture

La Carte culture est accessible à tout étudiant, quel que soit son âge, inscrit dans les universités de Strasbourg, Mulhouse - Colmar, Bâle, Fribourg-en-Brisgau et Karlsruhe (universités de l'espace EUCOR) et à tout étudiant inscrit dans un établissements post-bac ayant signé une convention avec l'Université de Strasbourg ou avec l'Université de Haute Alsace (UHA).

La Carte culture donne accès à des tarifs privilégiés à 40 salles de spectacles et festivals et 10 cinémas, ainsi qu'un accès libre à 20 musées.

Diffusion de la Carte culture en 2008/2009

La Carte culture est donnée gratuitement aux étudiants qui s'inscrivent pour la première fois à l'Université de Strasbourg ou à l'Université de Haute-Alsace, ainsi qu'aux étudiants boursiers. Elle est payante pour les autres étudiants des universités et pour les étudiants du post-bac non-universitaire. En 2008/2009, 73% des étudiants de l'Université de Strasbourg et 81% de ceux de l'Université de Haute-Alsace possédaient une Carte culture.

Mode de diffusion des cartes Bas-Rhin Haut-Rhin Total
Étudiants des universités - Cartes culture gratuites* 19 718 5 384 25 102
Étudiants des universités - Cartes culture payées 8 641 779 9 420
Autres étudiants post-bac - Cartes culture payées 5 527 935 6 462
Total 33 886 7 098 40 994

* Étudiants s'inscrivant pour la première fois à l'université et étudiants boursiers

Évolution des fréquentations Carte culture entre 2004/2005 et 2008/2009

Durant l'année universitaire 2008/2009, les étudiants d'Alsace ont utilisé leur Carte culture 35 764 fois pour assister à des spectacles vivants, 38 177 fois pour aller au cinéma et 15 103 fois pour visiter un musée.

Les fréquentations des salles de spectacles et musées connaissent une lente mais régulière hausse. La fréquentation des cinémas est fortement en baisse depuis 5 ans.

 

Service d'aide au pilotage

Sources : Service universitaire de l'action culturelle

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L'immobilier de l'Université de Strasbourg

Globalement, les bâtiments de l'Université de Strasbourg ont une superficie de 600 000 m2 SHON(1).

Cette superficie se répartit selon la destination des bâtiments en :

  • 143 000 m2 dédiés à la recherche ;
  • 181 000 m2 pour l'enseignement et la vie sociale ;
  • 190 000 m2 attribués à l'Administration et aux locaux logistiques et techniques.

Les bâtiments eux-mêmes sont au nombre de 110, distribués sur 1 000 000 de mètres carrés de foncier. Les principaux campus regroupent la majeure partie de ces bâtiments :

  • Campus centre (Esplanade, campus historique, Forêt-Noire, Argonne) = 45 bâtiments
  • Médecine = 19 bâtiments
  • Cronenbourg = 11 bâtiments
  • Ilkirch-Graffenstaden = 9 bâtiments

En terme de superficie des bâtiments, ces 4 campus sont également les plus importants :

  • Campus centre = 280 000 m2
  • Ilkirch-Graffenstaden = 115 790 m2
  • Médecine = 75 000 m2
  • Cronenbourg = 27 551 m2

L'intégration de l'IUFM à l'Université de Strasbourg a étendu les campus hors de la Communauté urbaine de Strasbourg. En effet, les bâtiments de l'IUFM représentent 50 000 m2, sur 5 sites : Guebwiller, Colmar, Sélestat, Strasbourg Meinau et Strasbourg Neuhof.

Trois bâtiments universitaires sont classés ou inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Il s'agit du Palais universitaire, de la Faculté de droit et du Pavillon de Rome, rattaché à l'Institut d'hématologie à l'hôpital civil.

Enfin, pour gérer cet ensemble, la Direction du patrimoine immobilier dispose de 28 personnes, réparties en 6 services.

Service d'aide au pilotage
Source : Direction du Patrimoine Immobilier - Département information du patrimoine


(1) surface hors oeuvre nette

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Le SUAPS en chiffres

Le Service universitaire des activités physiques et sportives propose et organise des activités sportives aux étudiants et personnels de l'Université de Strasbourg et, par convention, à ceux d'autres établissements. En outre, le SUAPS gère le centre sportif universitaire et la halle des sports sur le campus de l'Esplanade.

3 membres de la direction faisant partie de l'équipe enseignante, 4 administratifs et 7 agents d'entretien assurent le fonctionnement du SUAPS.  13 professeurs d'éducation physique et sportive enseignent et animent les divers sports et activités proposés. Cette équipe est complétée par 43 personnels vacataires.

Pour l'année universitaire 2009/2010, le SUAPS propose 62 activités sportives.

16 unités d'enseignement (UE) libres sont proposées aux étudiants. Ils peuvent les valider dans le cadre d'une 2e ou d'une 3e année de licence, ou en master.

En 2008/2009, 12 648 étudiants se sont acquittés du droit "sportif" et 520 personnels de l'Université de Strasbourg et des établissements conventionnés se sont inscrits au SUAPS. 930 étudiants et personnels ont acquis une carte de pratique libre.

Le SUAPS est également un lieu de vie avec plus de 30 manifestations au courant de l'année universitaire, comme les nuits des raquettes, du basket, du football, marathon fitness, du volley, avec le partenariat EUCOR…
Cette année plus précisément il s'est engagé dans l'inauguration de l'Université de Strasbourg (Bal de l'Univeristé de Strasbourg).

Service de l'aide au pilotage
Source :
Service universitaire des activités physiques et sportives

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L'organisation de la recherche à l'Université de Strasbourg

76 unités de recherche
Le contrat 2009-2012 de l'université fait état de 76 unités de recherche labellisées, dont certaines sont regroupées en 3 fédérations de recherche : la fédération de l'Ecole de chimie, polymères, matériaux (ECPM) dans le domaine de la chimie, l'Institut de biologie moléculaire et cellulaire (IBMC) dans celui de la biologie, et la fédération l'Europe en mutation dans le domaine « Droit, économie, gestion ».

Fortement associée aux organismes de recherche – CNRS, Inserm ou INRA – par le biais de 36 unités mixtes de recherche (UMR) ou de partenariats instaurés dans le cadre de 6 unités propres de recherche du CNRS, l'Université de Strasbourg dispose également  de 34 unités de recherche labellisées par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche, qui lui confère la capacité à mener une politique de recherche autonome, ainsi que l'y encouragent les dispositions de la Loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU). 

Cette organisation qui résulte de restructurations des équipes de recherche existantes ou en émergence, a été marquée par la labellisation au 1er janvier 2009, en tant qu'unité de service et de recherche (USR) associant l'Université de Strasbourg, l'UHA et le CNRS, de la Maison interuniversitaire des sciences de l'Homme – Alsace, la MIHSA, membre du réseau des 22 Maisons des sciences de l'Homme réparties sur le territoire national.

Tableau 1 : Répartition des unités de recherche labellisées par catégorie

Catégorie Nombre d'unités de recherche
Unités propres UdS (EA, FRE) 34
Unités mixtes de recherche 36
CNRS (UMR) 21*
INSERM (UMR-S) 7
INRA (UMR-A) 1
ERL 1
FRE 4
Unités de services (UMS, USR) 2
Unités propres du CNRS (UPR) 6
Total 76

* incluant l'IGBMC (Université de Strasbourg - CNRS - Inserm)

Un large spectre de disciplines représentées
La répartition des unités de recherche entre les différentes directions scientifiques (DS) définies par le MESR, indique clairement que l'activité de recherche de l'Université de Strasbourg couvre un large spectre de champs disciplinaires. Sans présumer de leur poids respectifs en termes de ressources humaines et d'activité, on constate que le domaine des sciences, technologies, santé compte 43 des unités de recherche reconnues soit près de 60% du nombre total, les 33 unités restantes, se partageant entre les DS6 et DS7, regroupant l'ensemble des sciences humaines et sociales, et des sciences de la société.

Tableau 2 : Répartition des unités de recherche par direction scientifique

Direction scientifique (DS) Nombre d'unités de recherche
DS1 - Mathématiques et leurs applications 1
DS2 - Physique 2
DS3 - Sciences de la Terre et de l'Univers, Espace 4
DS4 - Chimie 9
DS5 - Biologie, médecine et santé 22
DS6 - Sciences humaines et humanités 19
DS7 - Sciences de la société 14
DS8 - Département des sciences pour l'ingénieur 1
DS9 - Sciences et technologies de l'information et de la communication 3
DS10 - Agronomie, productions animale et végétale, agroalimentaire 1
Total 76

Tableau 3 : Répartition des unités de recherche par domaine

Domaine Nombre d'UR
Sciences, technologies (S&T) 31
Santé 12
Droit, économie, gestion (DEG) 10
Arts, lettres, langues (ALL) 7
Sciences humaines et sociales (SHS) 16
Total 76

Cependant, ces chiffres qui reflètent la structuration de la recherche, ne permettent pas à eux seuls d'appréhender toute la richesse de son activité ainsi que le potentiel humain et les moyens qu'elle mobilise pour conduire sa politique scientifique. Ils seront complétés prochainement par des données sur les personnels et les ressources dont disposent les différents domaines de recherche à l'Université de Strasbourg.

Service de l'aide au pilotage - ORESIPE
Source : Direction de la recherche

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Les bacheliers 2003 de l'Académie de Strasbourg, 5 ans après

L'ORESIPE et le Service statistique du rectorat de l'Académie de Strasbourg ont réalisé un suivi du parcours dans l'enseignement supérieur des bacheliers 2003 de l'académie, sur une durée de 5 ans.

Un des intérêts de ce suivi est qu'il couvre non seulement l'enseignement supérieur universitaire, mais aussi une grande partie de l'enseignement supérieur non-universitaire puisqu'il inclut les brevets de techniciens supérieurs et les classes préparatoires aux grandes écoles.

Suivi global

Suivi du parcours sur 5 ans, de la rentrée 2003 à la rentrée 2007, des bacheliers 2003 de l'académie de Strasbourg dans le post bac relevant du MENESR

Sur les 12 274 bacheliers 2003 de l'académie de Strasbourg, 8 665 étudiants, soit 71%, se sont inscrits, à la rentrée suivante dans une formation relevant du MENESR. Deux ans plus tard, c'est-à-dire à la rentrée scolaire 2005-2006, 57% de ces étudiants poursuivaient toujours des études au sein de l'éducation nationale. A la rentrée suivante, ils n'étaient plus que 37% de l'effectif initial et, à la rentrée 2007-2008, 28%. Soit respectivement, 40%, 26% et 20% de la cohorte des bacheliers 2003 ayant obtenu le bac dans l'académie de Strasbourg.

Entre les rentrées 2003-2004 et 2007-2008, 29% de ces 8 665 étudiants ont atteint un niveau bac+3 en 3 ans, 16% un niveau bac+4 en quatre ans et 12% un bac+5 en cinq ans.

Les formations universitaires

Pourcentage de bacheliers 2003 ayant atteint les niveaux bac+3 en 3 ans et bac+5 en 5 ans au sein de l'Education nationale

Filière initiale d'inscriprion Effectif initial Niveau bac + 3 en 3 ans Niveau bac +5 en 5 ans
Université
(hors santé et IUT)
3 669 37,6% 14,3%
Santé 667 17,5% 15,9%
IUT 1 411 40,0% 13,0%

En licence, après le cap difficile de la première année (45% de passage en deuxième année en moyenne), la poursuite jusqu'en 3e année est plus aisée : 38% des bacheliers atteignent ce niveau en 3 ans. 2 ans plus tard, un peu moins de 15% atteignent un niveau bac+5.

Du fait du numerus clausus, le filtre de la première année est encore accentué dans les disciplines du secteur santé. Seul 18% des bacheliers atteignent un niveau bac+3 en trois ans. En revanche, la perte est minime par la suite : 16% atteignent un niveau bac+5 en 5 ans.

Un peu surprenant, puisque leur formation est censée être de deux ans et avoir une finalité professionnelle, ce sont les bacheliers inscrits en DUT qui parviennent en plus grande proportion au niveau bac+3 en 3 ans : 40%. Il sont comparativement également assez nombreux à atteindre un niveau bac+5 en 5 ans : 13%


Pour plus de détail et des informations sur les formations non-universitaires, vous pouvez vous reporter à l'étude complète, disponible ici : Les bacheliers 2003 de l'académie de Strasbourg

Service de l'aide au pilotage - ORESIPE

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Les diplômés 2007/2008

Plus de 11 000 diplômes délivrés en 2007/2008

En 2008, les trois universités de Strasbourg ont délivré 11 306 diplômes : 47% par l'ULP, 23% par l'UMB et 30% par l'URS.

Ce nombre est significativement inférieur (- 14%) à celui de 13 147, enregistré en 2000. Cette baisse doit cependant être analysée non seulement en termes d'effectifs étudiants mais aussi au regard des évolutions liées à la restructuration d'une partie de l'offre de formation en trois niveaux diplômants, LMD, intervenue à la rentrée 2005, qui a rapidement entraîné la fin de la délivrance du DEUG et de la maîtrise.

L'année universitaire 2005/2006 marque donc une rupture : le nombre de diplômes délivrés a régulièrement augmenté de 2000 à 2005, passant de 13 147 à 17 101 (+ 30%) pour tomber à 11 663 en 2006 et 11 306 en 2008.

La répartition des diplômés entre les secteurs disciplinaires est relativement équilibrée avec 30% en droit/économie/gestion, 29% pour le domaine des lettres/sciences humaines et sociales et 26% en sciences et technologie, les filières du secteur santé représentant 15%.


Des évolutions plus ou moins spectaculaires selon les diplômes

Indépendamment de la restructuration LMD et de son effet mécanique sur le nombre total des diplômés des universités, on enregistre depuis 2000 une évolution du nombre des diplômés plus ou moins sensible selon les filières

Niveau Diplôme Nombre de diplômes délivrés
2000 2005 2006 2008
Bac + 2 DUT /DEUST 915 983 976 938
Bac + 3 Licence professionnelle 126 447 479 774
Bac + 3 Licence 3 516 3 292 3 375 3 128
Bac + 5 Ingénieurs /Ecoles/IEP 275 620 515 594
Bac + 5 DEA/DESS - Master 1 917 2 497 2 921 2976
- Doctorat 341 337 404 412
Santé Thèses d'exercice - 293 311 289
Santé Autres diplômes - 1 339 1 283 1 228

A la hausse depuis 2000 : licences professionnelles, masters, doctorats

  • Le nombre de licences professionnelles délivrées est multiplié par 6 entre 2000 et 2008, et a augmenté de 73% entre 2005 et 2008
  • Le nombre de masters enregistre une hausse de 55% : près de 3 000 diplômes délivrés en 2008
  • Environ 400 doctorats sont délivrés chaque année depuis 2006

Source : Service de l'aide au pilotage

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Le point sur les doctorants en 2008/2009

2 649 doctorants sont inscrits à l'Université de Strasbourg en 2008/2009, soit 6,2% des effectifs étudiants, sans évolution significative par rapport l'année universitaire 2007/2008.

9 écoles doctorales
L'ensemble des doctorants se répartit entre les 9 écoles doctorales (ED) de l'université, dans les proportions très inégales, allant de 27% du total des doctorants pour l'ED des Humanités, 20% pour l'ED des sciences de la vie et de la santé et 17% pour l'ED de droit, sciences politiques et histoire, les trois ED les plus importantes quantitativement. L'école doctorale des sciences chimiques s'inscrit en 4e position avec 10%  tandis les cinq autres se partagent le quart des doctorants restant, quelques uns d'entre eux relevant de l'ED Jean Lambert, rattachée à l'université de Haute-Alsace.

À noter, la création d'une nouvelle école doctorale à l'Université de Strasbourg à la rentrée 2009, en sciences de l'Homme et de la Société.

 

Ecole doctorale 2008/2009 Répartition des doctorats délivrés en 2008
% des effectifs (1) Proportion de femmes Proportion d'étrangers
Augustin Cournot (sciences économiques - gestion) 3% 52% 52% 2,7%
Droit, sciences politiques et histoire 17% 51% 57% 6,1%
Mathématiques, sc. de l'information et de l'ingénieur 7% 16% 44% 11,4%
Sciences chimiques 10% 41% 45% 15,0%
Physique et chimie-physique 6% 31% 52% 6,5%
Sc. de la terre, de l'univers et de l'environnement 3% 35% 35% 4,4%
Sciences de la vie et de la santé 20% 53% 42% 29,8%
Humanités 27% 57% 47% 18,9%
Théologie et sciences religieuses 6% 18% 56% 4,4%
Jean Lambert (UHA) 1% 65% 41% 1%
Total Université de Strasbourg (%) 100% 46% 48% 100%
Total effectifs 2 649 1 210 1 264 412

 

46% de femmes parmi les doctorants
La population des doctorants compte 46% de femmes contre 54% d'hommes, ceux-ci étant majoritaires dans les disciplines scientifiques et technologiques où ils représentent entre 60% et 85% des inscrits, mais aussi au sein de l'ED de théologie et sciences religieuses, à hauteur de 82%. Seule l'ED des humanités peut afficher une majorité significative de femmes (57%).

48% doctorants de nationalité étrangère
Les doctorants de nationalité étrangère représentent un peu moins de la moitié de l'effectif (48%).
Globalement, on dénombre 8% de thèses en cotutelle. L'ED de droit, sciences politiques et histoire, l'ED des Humanités, celle de sciences de la vie et de la santé et celle de chimie rassemblent à elles seules plus des trois-quarts des 210 thèses en cotutelle identifiées à l'Université de Strasbourg en 2008/2009.

412 doctorats délivrés en 2008
Le nombre de thèses soutenues en 2008 dans chaque ED est loin d'être proportionnel au nombre des doctorants qui y sont inscrits. Ce constat est la traduction chiffrée de pratiques différentes dans la conduite des thèses selon le secteur disciplinaire, la durée de préparation d'une thèse étant généralement plus courte dans les disciplines scientifiques que dans celles relevant des sciences humaines et sociales.


Source : Service de l'aide au pilotage

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Les personnels administratifs et techniques

En 2009, les personnels BIATOSS (Bibliothécaires, Ingénieurs, Administratifs, Techniciens, Ouvriers de Service et de Santé) de l'université de Strasbourg représentent un potentiel effectif de travail  de 2 067 équivalents temps pleins (ETP).

45% du potentiel affecté dans les services généraux ou communs de l'UdS


Les fonctions assurées par ces personnels sont regroupées en huit secteurs d'activité, où qu'elles soient exercées au sein de l'université.

Secteurs d'activité Affectation
UFR * Unités de recherche Services UdS Total
Gestion de l'étudiant 14% - 6% 20%
Recherche 2% 13% 2% 17%
Relations internationales > 1% - > 1% 1%
Documentation 1% - 7% 8%
Informatique 2% - 7% 9%
Logistique 7% - 4% 11%
Gestion de l'établissement 10% 1% 16% 27%
Immobilier - Sécurité 3% - 4% 7%
Total 39% 14% 46% 100%

* Unités de formation et de recherche (UFR) : facultés, écoles, instituts…

Les services centraux et communs disposent de 46% des emplois de BIATOSS de l'université. Au sein de ces services, la fonction de gestion de l'établissement représente un tiers de l'activité. Les deux tiers restants se partagent entre différents services mutualisant des compétences au bénéfice de toute la communauté universitaire. La gestion de l'étudiant consomme une part importante de ces emplois (20%), affectée pour deux-tiers dans les composantes où les étudiants trouvent un accueil et un suivi plus proche de leur lieu d'études, et pour un tiers dans les services centraux ou communs de gestion de la scolarité et de la vie étudiante. 

Sans surprise, l'assistance à la recherche constitue la mission essentielle des personnels de l'université répartis dans les unités de recherche et utilise 70% des quelque 300 ETP qui y sont affectés, les 30% restant se partageant entre diverses activités d'administration, de gestion ou de logistique.

Une large majorité de titulaires


Ces emplois sont occupés par des agents de catégorie A, B ou C, titulaires ou contractuels.

Statut Catégorie
A B C Total
Titulaires 19% 18% 33% 70%
Contractuels 10% 7% 13% 30%
Total 29% 25% 46% 100%

On peut préciser que les fonctions relevant de l'immobilier, de la gestion de l'étudiant, de la documentation, et surtout de la logistique sont majoritairement assurées par des personnels de catégorie C tandis que, pour la recherche et l'informatique, entre 50 et 60% des emplois sont occupés par des personnels de catégorie A.

64%des emplois sont occupés par des femmes

64% du potentiel effectif BIATOSS de l'UdS (exprimé en ETP) est constitué de femmes. Elles sont très largement majoritaires dans toutes les fonctions de gestion où leur taux varie entre 70 et 90% selon le secteur d'activité. Elles restent majoritaires dans les fonctions documentaires et logistiques. En revanche, elles sont minoritaires dans les secteurs de l'immobilier, de l'informatique où elles comptent pour moins d'un quart du potentiel.

Des perspectives à 5 ans…

Près de 20% du potentiel effectif BIATOSS de l'université devrait être renouvelé d'ici 5 ans, si l'on fait l'hypothèse d'un départ à 60 ans des personnels. Ce taux diffère peu d'un secteur d'activité à l'autre, à l'exception de l'informatique qui bénéficie de personnels en moyenne plus jeunes dont moins de 10% sont actuellement âgés de plus de 55 ans.

Source : SAP ; Enquête fonction 2009

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