Université, composantes et services
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La Journée portes ouvertes, c'est demain !

Demain, samedi 14 mars 2015, l'Université de Strasbourg ouvre les portes de ses campus : Esplanade, Médecine, Illkirch, Cronenbourg-Schiltigheim, Haguenau, Sélestat et les écoles supérieures de professorat et de l’éducation (Éspé) de la Meinau et de Colmar.

La Journée portes ouvertes de l’Université de Strasbourg mobilise de nombreux enseignants et étudiants pour renseigner les lycéens sur les filières de bac+1 au doctorat proposées à l’université. Des amphithéâtres, des salles de cours et des laboratoires seront ouverts. Le décor planté, le visiteur sera plongé dans l’ambiance de la vie universitaire pour expérimenter le quotidien d’un étudiant en assistant à des cours ou à des expériences en laboratoire.
Cette année, les lycéens profiteront de la programmation des Journées alumni (anciens diplômés de l’Université de Strasbourg) au Palais universitaire. Ils pourront s’informer sur les débouchés professionnels des cursus proposés par l’Unistra, échanger avec les alumni de l’université sur leur parcours professionnel et découvrir la recherche à l’Université de Strasbourg lors des séquences de Slam science où des enseignants-chercheurs expliquent en huit minutes leurs travaux de recherche.
Chaque faculté, école, institut a construit son propre programme. Avant de vous déplacer, il est indispensable de vous informer sur les activités programmées par la composante présentant les formations qui vous intéressent et sur les horaires d'ouverture propres à chacune.

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Démarche qualité : toujours mieux faire

Arrivé à l’université en début d’année, Hammouda Gandoula a été engagé en tant que qualiticien au sein du Service de l’aide au pilotage, un poste financé par les Investissements d’avenir*. Sa principale mission : aider les services et les composantes à simplifier et améliorer l’accueil des utilisateurs et les procédures internes à l’université.

Le premier axe de travail de cette démarche qualité concerne la mise en place du label Marianne dans les services et les composantes. Ce label se base sur 19 engagements portant sur les modalités d’accueil des usagers dans les services publics, donc pour l’université principalement l’accueil des étudiants. « C’est la première fois qu’une telle démarche qualité est engagée à l’échelle de l’établissement. Nous ne pouvons que nous réjouir de la belle dynamique qui s’est mise en place autour de ce projet qui est avant tout basé sur le volontariat », souligne Nathalie Vincent, directrice générale adjointe d'appui aux missions, qui porte le projet Qualité avec Mathieu Schneider, vice-président Sciences en société. 

Déjà une forte sensibilité à la démarche qualité 

Une dizaine de composantes et autant de services ont déjà montré un réel intérêt à entrer dans ce processus de qualité. « Dans plusieurs composantes, certaines chartes sont déjà en place et pour beaucoup d’autres composantes ou services, il existe déjà une forte sensibilité à cette démarche », ajoute Hammouda Gandoula. Un constat réalisé au travers d’échanges directs avec les entités car c’est d’abord sur le terrain que tout se joue. « Je réalise des journées d’immersion au sein des composantes et des services et c’est sur la base d’un premier diagnostic que nous mettons en place un plan d’action adapté à la réalité quotidienne », explique-t-il. L’objectif fixé à moyen terme est l’obtention du label Marianne pour trois à quatre composantes et autant de services à la rentrée 2016. À plus court terme, le Service de la vie universitaire, service pilote de cette démarche, vise l’obtention du label dès la rentrée 2015. 

Établir un plan d’action adapté à la réalité quotidienne 

Le deuxième volet de cette démarche qualité à l’université porte sur l’adoption d’une charte de qualité interne qui dépasse le cadre de l’accueil des usagers. « Il s’agit de réussir à améliorer l’ensemble des procédures et des processus parfois complexes pour tous les acteurs de l’université dans leur travail quotidien et améliorer ainsi les relations entre les différentes structures de l’université. Pour ce faire, un réseau d’experts qualité va être mis en place au sein de l’université de manière à pouvoir partager les problématiques rencontrées », conclut Hammouda Gandoula. 

Frédéric Zinck

*Levier Synergies2 de l'Initiative d'excellence

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Student World Forum : les préparatifs battent leur plein

Du 19 au 24 avril 2015, l’Université de Strasbourg accueillera le sixième Student World Forum du réseau universitaire international AC21*, en collaboration avec l’Université de Fribourg.

Surmotivés, une quarantaine d’étudiants des universités du réseau AC21 ont répondu présents et viendront de tous les horizons (Australie, Chine, Allemagne, Indonésie, Japon, Laos, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Thaïlande, États-Unis) pour réfléchir et échanger leurs points de vue autour du thème « The European experience in local and regional democracy ».
Le matin, les participants prendront part à des conférences au Collège doctoral européen et à des visites autour de l’Europe ; et l’après-midi, à des groupes de travail au Nouveau Patio. Le soir, ils découvriront Strasbourg grâce à des sorties conviviales. Pour l’heure, les préparatifs se concentrent sur l'organisation des conférences et la conception des groupes de travail afin qu’ils soient les plus dynamiques et participatifs possible. Mais il s’agit également d’organiser l’accueil des étudiants qui arrivent de différents aéroports et de planifier leurs déplacements ainsi que les différentes activités culturelles. Labellisé Initiative d'excellence, cet événement s’achèvera le 24 avril sur une présentation finale des travaux des étudiants auprès d’une délégation des universités du réseau. Financé par les universités du réseau AC21 et par l’Université de Strasbourg, ce forum est entièrement gratuit pour les participants. Pour les étudiants du réseau, c’est une occasion unique d’échanger des idées, de débattre et de s’informer avec d’autres jeunes du monde entier et de découvrir une autre région du monde. Une grande partie du forum sera filmée et les conférences plénières seront visibles en direct sur CanalC2.

Lucie Gonin

*Academic Consortium for the 21st century

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L'université dédie une journée complète à l'apprentissage

L'Université de Strasbourg organise, le 19 mars prochain, une journée dédiée à l'apprentissage, sur le campus de l'Esplanade.

Cette journée, ouverte à tous les jeunes intéressés par l'apprentissage, permettra aux futurs alternants de trouver les informations sur le dispositif, de préparer leurs candidatures, et également de rencontrer et d'échanger avec les facultés, écoles, UFR et IUT. 
Au programme de la journée : une réunion d'information sur l'apprentissage (de 9 h 30 à 11 h), des ateliers de préparation de candidature "CV, lettre de motivation et stratégie de recherche d'entreprise" (de 13 h 30 à 17 h), et des permanences d'information tenues par les composantes pour renseigner sur les formations accessibles (de 13 h 30 à 17 h). Des actions spécifiques – ateliers "CV et lettre de motivation" en allemand et permanence d'information "apprentissage transfrontalier" – seront proposés de 13 h 30 à 17 h pour accompagner les jeunes intéressés par le contrat d'apprentissage transfrontalier.

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Une matinale consacrée à la parité à l’université

Les matinales de l’université sont un moment d’échange et de proximité entre le président et divers membres de la communauté universitaire. Celle du 13 février dernier portait sur la parité à l’Université de Strasbourg.

Autour de la table, Alain Beretz, président de l’université, et Isabelle Kraus, chargée de mission Égalités-diversité, mais surtout des femmes et des hommes, enseignants-chercheurs et personnels administratifs, venues pour témoigner, dresser un état des lieux, décrypter les freins et trouver des pistes de progression sur l’égalité femmes-hommes. Car si la question est mise en débat dans la société et que des avancées ont été réalisées, cette égalité effective n’est pas atteinte à l’Université de Strasbourg.

Évolution de carrière complexe

La discussion s’est engagée sur le constat fait à la fois par le personnel administratif et les enseignants-chercheurs : si les femmes sont nombreuses à l’université, leur proportion diminue lorsque le niveau hiérarchique augmente. Un vivier important de compétences existe mais les évolutions de carrière se construisent moins naturellement et ce même dans des sections très féminines. Certaines femmes n’osent pas postuler aux postes à responsabilités car elles se disent qu’un homme sera privilégié ; elles ne se sentent pas forcément légitimes, certaines ne franchissent donc pas le cap du dépôt de dossier. Il en va de même pour les activités annexes, telle que la participation à un jury où la majorité des intervenants sont des hommes. À l’inverse, les hommes disent subir une pression quant à l’évolution de leur carrière. Ils doivent constamment envisager une progression, être à la recherche du pouvoir. Ceux qui ne rentrent pas dans ce schéma peuvent se sentir incompris. « L’objectif n’est pas de générer des frustrations, des freins pour les hommes, mais d’aller vers une équité », a expliqué une participante.
La question de la maternité a également été abordée. Celle-ci peut être vue comme un frein à une évolution de carrière pour les femmes. Mais la législation a beaucoup évoluée sur ce sujet et les femmes ne sont plus les seules à prendre un congé parental ou un temps partiel. Le fait que le nombre de doctorantes enceintes ait augmenté à l’université montre que la maternité n’est pas une entrave au travail. Il est possible que la médiatisation de certaines jeunes mamans ayant de hautes responsabilités ait permis de déculpabiliser ces femmes et leur ait servi d’exemple. 

La question de la féminisation des fonctions

La question de la féminisation des fonctions a aussi été débattue. Si certaines personnes pensent que cela peut faire prendre conscience qu’une femme peut avoir la même fonction qu’un homme, d’autres trouvent que cela serait une revendication de leur féminité. « J’espère que je suis à mon poste pour mes compétences et pas parce que je suis une femme », a confié une participante.
Les participants ont enfin tenté d’aborder les actions à mettre en place pour changer les choses. Isabelle Kraus, chargée de mission Égalités-diversité à l’Unistra a indiqué que si la situation avait déjà évolué depuis 2009, du chemin reste encore à parcourir. Pour mieux faire, vaut-il mieux laisser la société évoluer naturellement ou faut-il réglementer ? La question est restée en suspens.

Christelle Cura

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Deux délégations étrangères accueillies à l'université

L'Université de Strasbourg a accueilli une délégation coréenne de l’Université de Yeungnam le 16 février dernier et des hauts fonctionnaires du ministère de l'Enseignement supérieur d'Algérie et des représentants de différentes universités algériennes les 3 et 4 mars.

Le président de l’Université de Yeungnam, Seok-kyun Noh, son vice-président Recherche, Chinho Parq, et le directeur du département de chimie, Jae Hak Jung, sont venus en visite à l'université pour renouveler l’accord-cadre qui lie les deux établissements depuis 2011 et signer une entente complémentaire entre l’École de chimie, polymères et matériaux, l’UFR physique et ingénierie de l’Unistra et l’École de chimie de l’université coréenne. Ce nouvel accord permettra des échanges d’enseignants et d’étudiants de licence et de master, à compter de l’année universitaire 2015-2016. Cette visite était également l’occasion d’explorer les opportunités de coopérations futures, en matière de formation comme de recherche. Dans cette optique, la matinée a été consacrée à la présentation de composantes et de laboratoires de l’Unistra et des différentes activités menées au sein de ces structures. Les deux établissements, tous deux pluridisciplinaires, collaborent d’ores et déjà dans le cadre de recherches menées conjointement sur la thématique de l’énergie. Par ailleurs, l’EM Strasbourg met en œuvre un programme d’échange d’étudiants depuis 2009.
C'est à l'EM Strasbourg d'ailleurs que la délégation algérienne a débuté sa visite le 3 mars dernier avant de poursuivre avec une information sur la formation continue et l'ingénierie de la formation l'après-midi. Le lendemain, tous ont suivi de brèves présentations sur la gestion de la scolarité, le budget, les relations avec les entreprises, etc. Alain Beretz, président de l'université, leur a enfin présenté l'Unistra et sa gouvernance avant de les laisser à leur visite du Parlement européen.

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Du bon usage des majuscules, entre autres…

Dans quel cas met-on une majuscule à « université » ? Y-a-t’il un espace après un double-point, des points de suspension après etc ? Doit-on écrire 6 ou six ? Autant de questions que vous vous posez peut-être chaque jour en rédigeant vos écrits professionnels. Les réponses sont dans la charte orthotypographique de l’Université de Strasbourg. 

Souvent soumis à ce type d’interrogations dans leur quotidien d’éditeurs de médias et autres plaquettes, des membres du Service de la communication, du pôle PAO* de la Direction des affaires logistiques intérieures, du Service universitaire de l’action culturelle et des Presses universitaires de Strasbourg ont constitué une petit goupe de travail afin d’élaborer une charte orthotypographique pour l’Université de Strasbourg.
En dépit d’un nom un peu barbare, la charte orthotypographique ne mord pas : elle décrit les règles de composition des textes publiés sur des supports papier (historiquement) ou sur internet (plus récemment). On y rappelle par exemple les règles qui déterminent l’usage des capitales, de l’italique, des guillemets, la manière d’écrire les nombres, les abréviations, les sigles.
L’Université de Strasbourg, comme tous les journaux de presse écrite et de nombreuses institutions publiques et privées, s’est donc dotée de sa propre charte en adaptant à ses propres usages, les règles fixées par le code typographique de l’Imprimerie nationale. Cette charte vise à améliorer la lisibilité générale de tout ce qui s’écrit, tout en créant une culture commune autour de l’écrit. Or, améliorer la lisibilité générale passe parfois par l’application de règles qui contredisent d’autres règles apprises à l’école, ou acquises inconsciemment par de mauvais usages perpétués par l’entourage, qui finissent par apparaître comme des règles. On peut noter par exemple une forte tendance à faire un usage excessif des majuscules, qui, utilisées en quantité excessive, arrêtent la course de l’œil dans la lecture et peuvent provoquer des abandons de lecture. 

  • La charte est disponible dans l’ENT rubrique Vie de l’université - Fonctionnement, services, projets - Services rattachés à la présidence et à la DGS - Service de la communication - Chartes. 

*Publication assistée par ordinateur

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Un vent nouveau souffle sur l'action culturelle

Sylvain Diaz a assuré, depuis octobre 2014, l’intérim du poste de directeur du Service universitaire de l’action culturelle (Suac) à la place de Mathieu Schneider, jusqu’à sa nomination officielle le 1er février dernier. Il nous explique sa vision du service et les différents projets à venir. 

Pourquoi avoir accepté ce poste ?
C’est sur proposition du président de l’université, et suite aux délibérations du conseil d'administration, que j’ai été nommé directeur du Suac le 1er février 2015. Maître de conférences en études théâtrales, j’ai accepté d’occuper cette fonction qui me permettra – occasion unique ! – de mettre en œuvre une politique culturelle, et ce d’autant plus que ce projet s'adosse à celui de la création d’une salle de spectacles propre à l’université.

Nouveau directeur mais aussi nouvelle organisation. En quoi va-t-elle consister ?
Entre départ à la retraite et retour de congé maternité, le service est appelé à se renouveler. Une nouvelle organisation autour de deux pôles principaux va être mise en œuvre dès le 1er avril. Annika Heissler va prendre la responsabilité du pôle Carte culture soutenue par Lydie Legrand et Nathalie Bour, qui tient l’espace Carte culture à l’Agora. Jacqueline Yoesslé et Sophie Hedtmann vont former le pôle Projets et patrimoine. Tout cela sous la direction de Bernard Strauss et moi-même. 

Pouvez-vous nous rappeler les missions du Suac ?
Le service a trois champs d’intervention principaux : les projets, la Carte culture et le patrimoine. Concernant ce dernier, l’inventaire des œuvres de l’université a été réalisé, nous allons donc commencer un travail de valorisation conjointement avec le Jardin des sciences. Pour ce qui est de la Carte culture, je souhaite, en dialogue avec nos partenaires, organiser des projets semblables à la performance The Quiet Volume, inédite en France, menée avec le Maillon à la bibliothèque U2-U3 du 16 au 21 mars. Il s’agit de faire comprendre la Carte culture n’est pas seulement un dispositif commercial mais aussi et surtout culturel. Ce type de productions permettra aussi d’amener un autre public à l’université.
Enfin, ces dernières années, le Suac a mené de nombreux projets culturels ; mon idée serait d’en faire un peu moins et surtout de proposer des choses différentes. 

Pouvez-vous nous en dire plus ?
Je souhaite développer des actions répondant à quatre critères : l’exigence artistique, reflet de l’excellence scientifique défendue par notre université ; l’articulation scientifique avec des travaux de recherche menés à l’université ; l’aspect festif et fédérateur ; l’ouverture disciplinaire. Un premier projet répondra à cela : un bal littéraire organisé par la Coopérative d’écriture le 13 avril prochain. Le principe : cinq auteurs se réunissent pour composer, en une journée, une pièce s’articulant à dix morceaux musicaux. Le soir, les spectateurs sont invités à découvrir la pièce et à danser sur chaque morceau.
J’aimerais également poursuivre l’organisation de résidences – mais en proposant des profils d’artistes un peu plus mixtes, interdisciplinaires – et développer des partenariats semblables à ceux qui existent déjà avec Musica, par exemple.
En tant que directeur, j’ai décidé de reprendre la main sur la programmation culturelle à l’université ; je souhaite que le Suac soit à l’initiative d’une programmation et non plus seulement partenaire d’événements proposés. C’est essentiel dans la perspective de l’ouverture prochaine d’une salle de spectacles. 

C’est un gros projet parmi d’autres ?
Il y a en effet de nombreuses échéances d’ici au mois de juin. Il y a des résidences d’artistes en cours notamment celle du photographe Éric Tabuchi, celle de Steinunn Sigurdardottir. Mi-avril, nous recevrons les trois finalistes du projet d’installation artistique pour choisir l’œuvre qui, dans le cadre du programme Mon campus est un jardin, sera installée sur le campus à l’automne. Et la remise des prix Louise-Weiss et Jean-Arp se déroulera le 16 avril prochain.
Mais la salle de spectacles, qui verra le jour à moyen terme, va en effet être un de nos gros projets dans les mois à venir. Ce projet a été initié par la vice-présidence Patrimoine en dialogue avec le Crous et le Suac. Située à la cité U Paul-Appell, la salle pourra accueillir quelque 250 personnes. C’est l’aboutissement d’un long travail qui permettra à l’université de se hisser au niveau d’autres établissements qui disposent déjà de leurs propres équipements culturels. 

Les prochains rendez-vous du Suac (culture.unistra.fr): 

  • 16 au 20 mars : The Quiet volume (en partenariat avec Le Maillon et les bibliothèques de l’Université de Strasbourg)
  • 1er au 15 avril : Filmer la ville
  • 9 avril : Conférence de Catherine Trautmann « Ré-enchanter l’Europe par la culture »
  • 13 avril : Bal littéraire
  • 16 avril : Remise des prix Louise-Weiss et Jean-Arp
  • 26 au 29 mai : Stud’Art

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Le Centre de culture numérique fête ses 3 ans

Pour célébrer sa troisième année d’existence, le Centre de culture numérique (CCN) ouvre ses portes jeudi 19 mars et organise une journée rétrospective de 10 h à 17 h au spot numérique dans le hall de l'Atrium.

Depuis trois ans, le Centre de culture numérique – espace de découverte, de formation, d’échanges et de rencontres autour des usages du numérique – a pour vocation de répondre aux besoins d’acquérir connaissances et savoir-faire dans le domaine du numérique. Cette journée portes ouvertes est une occasion de faire découvrir les réalisations de ces trois années de culture numérique, mais aussi de vous rencontrer et d’échanger avec vous et ainsi d’imaginer, d’ébaucher et lancer de nouveaux projets.

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La Société de biologie de Strasbourg attribue les prix de thèse à sa promotion 2014

La seizième cérémonie des prix de thèse de la Société de biologie de Strasbourg (SBS) s’est tenue vendredi 27 février 2015 dans le cadre des journées de l’École doctorale des sciences de la vie et de la santé de l’Université de Strasbourg.

La cérémonie a débuté par les interventions du nouveau président de la SBS, le docteur Christophe Romier, de la représentante de l’université, Catherine Florentz, et des représentants des sponsors de cette cérémonie, Serge Potier pour l’École doctorale des sciences de la vie et de la santé, et Nicolas Matt pour l’Eurométropole de Strasbourg. Sylviane Muller de l’Institut de biologie moléculaire et cellulaire a animé la conférence plénière de la cérémonie sur le processus de développement du « Lupuzor » et le traitement du lupus systémique érythémateux. La cérémonie s’est poursuivie par l’audition des différents lauréats.
Le palmarès des prix de thèse 2014 de la Société de biologie de Strasbourg :

  • Prix de l’École doctorale des sciences de la vie et de la santé : Alexia Arepel (FMTS Inserm U1109/IPHC UMR 7178) ; 
  • Prix de l’Eurométropole de Strasbourg : Ludovic Enkler (GMGM UMR 7156) ; 
  • Prix de la Région Alsace : Raphaelle Cassel (LNCA UMR 7364) ; 
  • Prix de la Société de biologie de Strasbourg : François Bonnay (IBMC UPR 9002), Joseph Chaumont (INCI UPR 3212/LNCA UMR 7364), Damien Lemoine (CAMB UMR 7199) et Antoine Stier (IPHC UMR 7178).

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Réunions institutionnelles : calendrier 2015

 Mars Avril
<strong>Conseil académique</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;/
<strong>Conseil d'administration - CA</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;24&nbsp;/
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;17&nbsp;14
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong>
14 h 30 - Mercredi
&nbsp;18&nbsp;/
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong>
14 h 30 - Mardi
&nbsp;31&nbsp;21
<strong>Conférence des directeurs des unités de recherche</strong>
10 h - Mercredi
&nbsp;26 (jeudi)&nbsp;/
<strong>Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux</strong>
9 h - Lundi
&nbsp;16&nbsp;/

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